On s'attaquait aux bambins qu'on faisait bouillir dans un chaudron, aux savoyards qu'on brûlait vifs, aux avocats qu'on donnait aux lions, aux franciscains qu'on saignait à blanc, aux dactylos qu'on gazait, aux mitrons qu'on asphyxiait, aux clowns, aux garçons, aux putains, aux bougnats, aux typos, aux tambours, aux syndics, aux Mussipontins, aux paysans, aux marins, aux milords, aux blousons noirs, aux cyrards.
De qui sont ses lignes apocalyptiques ?
On ne l'a jamais su !... André Lombard
RépondreSupprimerGeorges Perec ; LA DISPARITION Regardez bien ,il n'y a aucun "E" dans toutes ces lignes . http://www.litt-and-co.org/citations_litteraires/20e-cita/l-q_20e/perec_disparition.htm
RépondreSupprimerLa disparition de Georges Perec . Aucun "E" dans tout le texte . http://www.litt-and-co.org/citations_litteraires/20e-cita/l-q_20e/perec_disparition.htm
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