Ce matin je me réjouissais de la rapidité du Dauphiné libéré à publier mon compte-rendu, c'est l'appellation d'usage, du concert du Nouvel An. Mais j'ai vite déchanté en lisant le titre de l'article et la légende de la photographie. Dans les bureaux du journal, on n'utilise pas le même calendrier qu'à Saint-Nicolas-la-Chapelle et autres contrées reculées Pour mes chers éditeurs référents, nouveaux noms des secrétaires de rédaction, le premier jour de l'année est le dernier de l'année précédente ! Est-ce une déclinaison, embuée par le réveillon, du célèbre " en même temps " ? Ce qui m'agace, c'est que le lecteur lambada, ne connaissant pas le parcours d'un papier, du correspondant local jusqu'à sa publication, risque bien d'attribuer ces âneries à ma pomme et je plaide donc, non coupable.
Ce soir, dimanche 5 janvier, j'ai reçu des excuses de l'éditeur référent qui avait traité mon papier.
Papier qui a été corrigé sur la version web, j'y vais de ce pas.
Merci de lire les commentaires:
Lambada ou lambda ?? Qui a les idées embuées ??
RépondreSupprimerCher M Anonyme, votre commentaire ne devrait pas paraître si j'observais la règle fixée pour ce blog. Mais votre commentaire est si plaisant et intelligent que je fais une exception. Je vous accorde que mon erreur est bien plus grande que celle des " éditeurs référents " du Dauphiné libéré, qui eux place le 1er janvier 2025 comme dernier jour de l'année 2024. Vous avez raison, c'est sans comparaison. Et, si comme on dit, vous en avez un peu dans la culotte, signez votre prose !
RépondreSupprimerPlacent et non place.
RépondreSupprimer🤣🤣👏 Edmond!!
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