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Pause hivernale.


Pour sa fermeture hivernale le 29 novembre, la Ressourcerie a accueilli 146 personnes qui ont pu profiter des prix libres. Leur gentillesse et leur générosité ont réchauffé le cœur des bénévoles  Tout au long de cette belle journée de partage, le vin chaud, les crêpes et les gaufres ont favorisé la convivialité. " Néanmoins il reste quelques petites taches à accomplir. " souligne une bénévole. Accueillir le Secours Populaire d’Ugine afin qu’ils récupère tous les objets qui peuvent encore faire des heureux et avoir une deuxième vie. Ensuite, il y a la préparation des sacs cadeaux pour les Restos du cœur d’Ugine, 52 bénéficiaires, avec une petite attention pour chacun en fonction de leur âge . Et la saison ne serait pas finie sans un petit geste pour nos ainés et les soignants à la maison de retraite avec des corbeilles de chocolat  D'autre part, Le Père Noël et son traineau ont trouvé preneur pour 250 euros, somme qui sera remise au Téléthon qui se déroulera le dimanche 7 décembre à Notre-Dame-de-Bellecombe.

samedi 29 novembre 2025

Carnet. Noël Jond à Saint-Nicolas-la-Chapelle.


Clichés famille Jond.

 


Décédé le 17 novembre dernier, Noël Jond, âgé de 84 ans, a été entouré de sa famille, de ses amis, lors de ses funérailles religieuses qui se sont déroulées le vendredi 22 en l’église de Saint-Nicolas-la-Chapelle. Les Anciens combattants et leurs drapeaux étaient là aussi pour un dernier adieu à un des leurs. Noël Jond, incorporé le 1 novembre 1960 a été libéré, avec le grade de sergent obtenu le 1 mai 1962,, le 20 novembre 1962, deux années passées essentiellement en Algérie. Titulaire de la médaille de la Reconnaissance de la Nation, de la médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l’ordre en Algérie, il avait aussi obtenu la croix de la Valeur militaire, étoile de bronze, avec citation à l’ordre du bataillon, le 27 janvier 1962 et à l’ordre du régiment, le 25 mars 1962. Cette décoration distinguait son courage et son comportement lors d’une opération, le 27 janvier 1962, au cours de laquelle il avait abattu le chef d’un commando adverse. Rendu à la vie civile, il avait épousé Suzanne Dumax-Baudron et ils avaient accueilli trois enfants, Christiane, Martine et Marc. Exploitant agricole, il avait aussi exercé en complément des activités de maçon chez Sévérine Déon et de scieur chez Lucien Jiguet. Et au service de la collectivité, intégré le corps des sapeurs-pompiers, participé au conseil municipal et assuré la présidence de la section des anciens combattants de la commune.

 

En 2021. Deuxième rang, premier à gauche.


Noël Jond, né en 1940, a quiité les siens après de longues années de souffrance. Noël était ancien combattant d'AFN et avait assuré la présidence de l'association locale. Il était aussi ancien sapeur-pompier et ancien conseiller municipal durant les mandats de Raymond Ouvrier-Buffet. Nous pourrons l'entourer  et accompagner son épouse, Suzanne, ses enfants, Christiane, Martine et  Marc et leurs familles, lors de ses funérailles religieuses qui seron célébrées, le vendredi 21 novembre, à 14 heures 30, en l'église de Saint-Nicolas-la-Chapelle. 

 Ci-dessous, premier à gauche.

2012. Deuxième rang, deuxième en partant de la droite.

Deuxième en partant de la gauche.

 

 

Sans date, premier à droite, alors président des Anciens Comabattants.

 


 Debout, deuxième en partant de la gauche.

 

 

vendredi 28 novembre 2025

Carnet. Marie-Josephte Mercier-Balaz à Albertville et La-Bathie.


J'apprends le décès de Josette Mercier-Balaz, qui fut de nombreuses années à la tête de la maison d'enfants, Les Myrtilles, à Saint-Nicolas-la-Chapelle. Elle fut ensuite infirmière au CH d'Albertville. Ses funérailles seront célébrées le lundi 1 décembre, à 14 heures, au centre funéraire du Chiriac à Albertville.
Si des lecteurs ont une photo de Josette, merci de me la partager. 

Noces d'or.


 Eugène Pettex était le constructeur et le premier propriétaire de la " Villa des Myrtilles ".

Lire.


 

Je ne me lasse pas de cet auteur savoyard, bien oublié aujourd'hui. C'est vra, sa vision de la vie et qu'il veut partager ne nous parle plus ou si peu. Il reste que ses romans sont prenants, bien construits et le lecteur mis en appétit. Son écriture est claire et agréable, il est paysagiste, nous plongeant dans des lieux qu'il connait  bien, il est porttraitiste, individu ou groupe, pointant le caractère de chacun. Ce texte, Le barrage, a été écrit en 1925-1926, bien avant ceux de Tignes ou Roselend, mais après celui de Barberine*, en Suisse, que l'écrivain avait visité en compagnie de son frère Jules, polytechnicien, ce dernier l'ayant grandement documenté.

* Aujourd'hui, lui même noyé dans les eaux du barrage d'Emosson. 

Sur ce thème :

André Besson, Le village englouti,

Maurice Chappaz, Le chant de la Grande Dixence,

José Reymond,  Tignes, mon village englouti.

La vie aux champs.


https://www.francebleu.fr/infos/insolite/correze-trois-poneys-interpelles-par-les-gendarmes-apres-plusieurs-refus-d-obtemperer-7183253 

Transmettre, un documentaire proposé par la Ressourcerie du Val d'Arly.

 

Ce vendredi 21 novembre, la Ressourcerie du Val d'Arly, dans le cadre du mois du film documentaire a proposé: Transmettre. Nous nous sommes retrouvés assez nombreux, malgré les premiers froids, à faire le voyage dans les Vosges alsaciennes pour rencontrer un couple d'agriculteurs, Monique et Francis Schirck, arrivant à l'âge de la retraite. Le film de Jérôme Zindy retrace leur histoire et sujet du film la difficile étape de la transition à de jeunes exploitants. Si dans le cas présent des repreneurs sont trouvés ce n'est pas la règle et chaque jour des exploitations agricoles disparaissent, au mieux absorbées par des voisines, au pire abandonnées à la jachère ou à l'urbanisation. Le débat qui devait suivre s'est résumé à des échanges en petits groupes, la présence d'agriculteurs de nos villages aurait certainement été un plus, mais à mon regret, ils étaient absents.

 

C'est dimanche.


 Paul Chocarne-Moreau, musée de La piscine à Roubaix.

 Qui a servi la messe ? 

Ouvrons la fenêtre.


Bonjour de la petite église de San Giacomo à Ortisei L'un des points de vue les plus magiques de Val Gardena, entouré de forêts paisibles et de vues époustouflantes sur le Sassolungo

Lire.

 

« Il est insensé de penser qu'il faut lire tous les livres qu'on achète, tout comme il est insensé de critiquer ceux qui achètent plus de livres qu'ils ne pourront jamais en lire.
Ce serait comme dire qu'il faut utiliser tous les couverts ou les lunettes, les tournevis ou les forets que vous avez achetés avant d'en acheter de nouveaux.
Il y a des choses dans la vie pour lesquelles nous avons besoin de toujours avoir suffisamment de provisions, même si nous n'en utilisons qu'une petite partie.
Si, par exemple, nous considérons les livres comme des médicaments, nous comprenons qu'il est bon d'en avoir plusieurs à la maison plutôt que quelques-uns.
Quand on veut se sentir mieux, alors on va au « placard à pharmacie » et on choisit un livre. un livre aléatoire, mais le bon livre pour le moment.
C'est pourquoi vous devriez toujours avoir un choix nutritionnel !
Ceux qui n'achètent qu'un seul livre, ne lisent que celui-là et s'en débarrassent ensuite.
Ils appliquent simplement la mentalité de consommateur aux livres, c'est-à-dire qu'ils les considèrent comme un produit de consommation, un bien.
Ceux qui aiment les livres savent qu'un livre est tout sauf une marchandise ».
 
Umberto Eco. 

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 "La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d’un bois.

Plus de chansons dans l’air, sous nos pieds plus de chaumes.
L’hiver s’est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l’horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.

La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu’elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s’empresse à nous quitter.

Et froids tombent sur nous les rayons qu’elle darde,
Fantastiques lueurs qu’elle s’en va semant ;
Et la neige s’éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n’ayant plus l’asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.

Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur oeil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu’au jour la nuit qui ne vient pas.


Guy de Maupassant, 

Chat'Alors.

 



Si parfois le nombre de policiers fait défaut au sein des 
commissariats de la Police nationale, et celui de Manosque ne fait pas exception à la règle, disposant d'environ 65 policiers depuis de nombreuses années, ce dernier peut compter depuis quelques semaines sur une dernière recrue de choix, qui s'est intégrée rapidement au sein des effectifs. 

En effet, depuis le mois dernier, un jeune chat, âgé de quelques mois, prénommé Sia, a rejoint les rangs des effectifs du commandant divisionnaire Jean-Luc Thaon.

Trouvée au bord de la route un soir de septembre, l'animal a d'abord été recueillie par l'association "Germaine" qui s'occupe des chats errants et abandonnés de Manosque, avant d'être adoptée par le Commissariat de Police de Manosque courant octobre. 

Recrue pas comme les autres pour les forces de l'ordre, la petite Sia fait, en tout cas, le bonheur des fonctionnaires du Commissariat, et comme l'explique la Police nationale des Alpes de Haute-Provence, elle "apporte du réconfort aux victimes lorsqu'elles se rendent dans nos locaux. Bienvenue Sia, et merci pour ton action essentielle au sein de nos services !"

Comme le reconnaît l'association Germaine, "cette jolie recrue fait le bonheur de tous au commissariat de la Police nationale. Nous lui souhaitons une belle et longue vie. Nous remercions aussi Victor, son papa d’accueil, qui l’a gardée le temps du délai légal de fourrière".