
Il y a toujours
Au bout du chagrin une fenêtre ouverte
Une fenêtre éclairée
Il y a toujours un rêve qui veille
Désir à combler, faim à satisfaire
Un cœur généreux
Une main tendue, une main ouverte
Des yeux attentifs
Une vie, la vie à se partager.
Mourir
Penser à la mort,
Y penser simplement à la fin de la journée.
Elle n'est pas laide; elle n'est pas triste;
Grave seulement, entourée d'inconnu.
C'est la porte qui s'ouvre
Un peu plus tôt pour les uns,
Un peu plus tard pour les autres,
Sur le pays mystérieux, vers lequel nous allons tous.
Paul Eluard.
RépondreSupprimerDe manière très personnelle , et pour beaucoup "farfelue" , je fais revivre la mémoire de mon père François Marcel CHEMINAL-LANAZ , époux de Odile OUVRIER-BUFFET de FLUMET , en rechantant ou en fredonnant les airs comiques de 1900 , qu'il affectait tant !