Dimanche 24 juillet, la séance de 17 heures était programmée en l'église du village, le camp chantant de Montagne et Joie y faisait son cinéma ! En effet la vingtaine de morceaux interprétés par les jeunes choristes renvoyaient à des films. Pour le public, certains titres étaient faciles à associer, Feel Pretty de Léonard Bernstein ou encore Double trouble de John Williams mais à quelle œuvre du septième art rattacher, In paradisium de Gabriel Fauré, ou Ô Père des Lumières de Marcel Godard ? Les locaux ont même pu retrouver Etienne Perruchon, compositeur de Magéva, dont on a donné une agréable fantaisie, Tchouka. Pas de navets dans ce festival, de Morricone à Bach, les choristes, de 6 à 17 ans, maitrisent parfaitement leurs partitions en complicité avec leur accompagnateur au piano, Vincent Coiffet et leur cheffe de chœur, Charlotte Rabier-Legrand. Si au cinéma, il n'y a pas de bis, là ils ont été accordés chaleureusement au public qui devra patienter juillet prochain pour à nouveau apprécier cette formation fidèle au Val d'Arly depuis près de quarante ans.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez laisser un message anonyme, il vous suffit de cocher la dernière case de la liste ci-dessous. Les messages offensants seront supprimés.