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mardi 26 juillet 2022

Le cinéma du Camp chantant de Montagne et Joie.

 
Dimanche 24 juillet, la séance de 17 heures était programmée en l'église du village, le camp chantant de Montagne et Joie y faisait son cinéma ! En effet la vingtaine de morceaux interprétés par les jeunes choristes renvoyaient à des films. Pour le public, certains titres étaient faciles à associer, Feel Pretty   de Léonard Bernstein ou encore Double trouble de John Williams mais à quelle œuvre du septième art rattacher, In paradisium de Gabriel Fauré, ou Ô Père des Lumières de Marcel Godard ? Les locaux ont même pu retrouver Etienne Perruchon, compositeur de Magéva, dont on a donné une agréable fantaisie, Tchouka. Pas de navets dans ce festival, de Morricone  à Bach, les choristes, de 6 à 17 ans, maitrisent parfaitement leurs partitions en complicité avec leur accompagnateur au piano, Vincent Coiffet et leur cheffe de chœur, Charlotte Rabier-Legrand. Si au cinéma, il n'y a pas de bis, là ils ont été accordés chaleureusement au public qui devra patienter juillet prochain pour à nouveau apprécier cette formation fidèle au Val d'Arly depuis près de quarante ans.







 

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