dimanche 19 février 2012

Concert, chorale Montjoie avec Colette Alliot-Lugaz.


Galerie de photographies en appuyant sur l'image ci-dessus.

Je remercie cette amie mélomane et musicienne qui a bien voulu partager ses impressions.

" Dimanche 19 février vers 18 heures, en la belle église baroque de Flumet règnait une effervescence inhabituelle : derniers préparatifs pour un concert annoncé depuis quelques temps et très attendu par les mélomanes locaux ... et venus d'autres horizons en ce temps de vacances !
L'assistance nombreuse et attentive n'a pas été décue et a pu chaleureusement applaudir cette prestation de qualité.
Avec beaucoup de talent, les membres de la Chorale Montjoie de Saint Gervais, sous la direction énergique et passionnée d'Henri Collin, ont charmé les oreilles par l'interprétation d'oeuvres musicales variées. Au programme : Debousset, Martin, Clérembault, Pachelbel, Fauré, et bien sûr Bach !
A capella ou accompagnés au piano par Philippe Guicheteau, ils ont permis de se laisser envahir par l'ambiance fervente et joyeuse des Noëls religieux et traditionnels.
Leur excellente interprétation a été rehaussée pour quelques oeuvres par la voix magique et envoûtante de Colette Alliot-Lugaz, soprano savoyarde originaire de Notre Dame de Bellecombe et bien connue dans le monde entier. Le "Notre Père" écrit pour elle par un ami musicien a enthousiasmé le public.
Avec toute la simplicité qu'on lui connait elle a su mettre son immense talent au service des choristes et a largement contribué au succès et à l'excellence de la soirée. Un beau succès à ajouter à ceux déjà nombreux de ces artistes locaux.
Pour eux, d'autres concerts sont déjà en préparation. Que la musique les porte toujours plus loin. "

A la demande d'une interprète les vidéos liées à ce message ont été retirées. 
23 août 2012. Edmond Burnet-Fauchez.










1 commentaire:

Anonyme a dit…

Pour citer l'un de vos lecteurs, le droit à l'image ne précise pas quelle image de soi-même on finit par donner en se livrant à ce genre de coquetteries, et en l'occurrence la dame ne s'est pas assez interrogée sur l'image qu'elle finissait pas donner d'elle-même après cette démarche. En tout cas chacun a compris à qui il avait affaire.