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Cet après-midi, la station d'épuration du Val d'Arly, aujourd'hui gérée par Arlysère, a ouvert ses portes. Une petite vingtaine d'habitants ont ainsi pu découvrir les locaux et le fonctionnement de ce service. Deux techniciens ont au cours du parcours, depuis l'arrivée des eaux usées, qui viennent de Crest-Voland, Cohennoz pour la partie Cernix, Flumet, Notre-Dame-de-Bellecombe et Saint-Nicolas-la-Chapelle, jusqu'à leur rejet, une fois épurées, expliqué les procédures employées dans cette station qui est de type à filtration membranaire. Ils ont mis l'accent sur les variations très importantes d'effluents reçus selon les saisons et les adaptations nécessaires pour y faire face.







Ce samedi 26 mai, la dix-neuvième fête du sport, organisée par Vivre en Val d'Arly, a rassemblé 50 jeunes sur la plaine de jeux de l'Arrondine à Flumet. Avant de parcourir, en individuel ou par équipe, les divers ateliers de nombreux participants se sont mesurés au cours d'un cross, remporté chez les moins de six ans par Eva Jacquodetto suivie d'Emilie Morand chez les filles et par Adrien Bebon précédent Maloë Cortay chez les garçons. Dans la catégorie des six-neuf ans, Adèle Ouvrier-Buffet s'est classée première devant Léane Burnet et Abel Melchioretto l'a emporté devant Basile Flamant. Enfin, Romane Ouvrier-Buffet a devancé Ludivine Ouvrier-Buffet chez les filles de 10 à 13 ans alors que Jules Ouvrier-Buffet s'est imposé devant Baptiste Arvin-Bérod chez les garçons de cette classe d'âge. De la course au sac à celle d'orientation, de l'escalade au trampoline, du parcours VVT au tir à l'arc et autres disciplines, la gamme était riche et variée pour se tester et s'éclater dans l'effort et la bonne humeur sous un ciel de plus en plus menaçant.







Pour ce premier concert spirituel, la chorale comblorane dirigée par Colette Chavand et élargie à quelque colataine a offert un moment dense où des chants ponctués de textes bibliques ou des textes bibliques illustrés de chants, selon la sensibilité de chacun, ont accompagné une réflexion, une méditation sinon une simple relecture des grandes pages des écritures. La joie de chanter se lisait sur tous les visages des choristes et cette joie s'est tout naturellement transmise à toute l'assemblée réunie pour partager ce moment fort. 


Lors du tout récent et jeune salon du livre de Flumet j'ai découvert grâce à un ami qui m'a offert un de ses livres, l'écrivain François Garde. La lecture de ce roman, Pour trois couronnes, n'était pas achevée que j'ai recherché d'autres titres chez les bouquinistes de la toile et commandé, Ce qu'il advint du sauvage blanc. Un troisième, L'effroi, doit bientôt arriver et rejoindre les précédents dont la lecture est finie. Dans chacune de ses œuvres, l'écrivain nous raconte une histoire, pas très ordinaire, celle de quelques personnages mais parallèlement s'interroge et nous interroge sur des questions fondamentales, la filiation dans, Pour trois couronnes, et la/les civilisation/s dans, Ce qu'il advint du sauvage blanc. Ainsi, ce qui aurait pu n'être que roman d'aventure devient livre de réflexion, de questionnement et d'enrichissement personnel. Dès les premières pages et jusqu'à la dernière l'auteur nous attache à son texte servi par une beau français classique, un vocabulaire riche mais toujours compréhensible, ce qui n'est pas courant de nos jours. François Garde qui vient de publier, Marcher à Kerguelen, un récit, est édité par Gallimard, collection blanche et Folio et des sites comme ebay offrent quelques titres en occasion.

Au cours de leur escapade de huit jours, du dimanche 13 au dimanche 20 mai, en Autriche, les membres de l'association, La Revoyure, ont retrouvé dans chaque ville visitée l'art baroque présent plus discrètement dans nos vallées savoyardes, l'art baroque religieux dans les abbayes, églises et cathédrales et sa version civile, le rococo, dans les châteaux et palais.  De Stams à Vienne en passant par Innsbruck et Salzbourg ils ont baigné dans ce monde de couleurs et de mouvement. Ils ont aussi retrouvé Mozart, Sissi et leurs légendes et peut-être se sont-ils lancés dans des valses de Strauss ! Ils n'ont pas négligé la modernité avec une étape dans la station de Kitzbühel où ils ont également visité une ferme et plongé dans l'histoire à Graz, deuxième ville autrichienne et Klagenfurt. Sur le chemin du retour, un passage en Italie a apporté le plaisir de découvrir Sirmione, la perle du lac de Garde dont ils ont apprécié la beauté de son environnement avant rejoindre Flumet et de se donner rendez-vous pour un prochain départ.

 A Vienne.

 A Klagenfurt.
Tous les clichés sont d'André Perret. 

 A Kitzbüel.

 Cathédrale Saint-Etienne.

 Château du Belvédère.

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