Un crime à Flon.

 

Faits divers, autrefois.

 

Festi'Val d'Arly. concert de clôture.

Ce concert de clôture a connu comme les précédents un grand succès, plus grand peut-être. L'orchestre occupant le choeur et la croisée du transept, le public s'est serré sous les deux premières travées, dans les absides, à la tribune, sous cette dernière et à l'extérieur, au plus près de la grande porte et de la porte latérale. Malgré ces conditions, la prestation des musiciens et l'écoute du public ont été une nouvelle fois, remarquables. Notre Val d'Arly, pays d'art et d'histoire, est aussi un pays de musique grâce à Art et Culture en Arly qui chaque année  offre un programme de haute tenue au travers d'une quinzaine de concerts, gratuits, il est important de le signaler.

Ce concert de clôture, donné également la veille à Megève, a avant Mozart et Tchaikovski, donné à entendre une création. Celle de Blueberries Variations de Robin Melchior, jeune compositeur mais aussi touche à tout dans le domaine musical, présent au sein de l'orchestre, trompette, et qui en dialogue avec le chef Aurélien Azan Zielinski, a présenté son oeuvre. Oeuvre romantique, dédiée au compositeur Julien Gauthier, tué par un ours au Canada et inspirée par le poème Blueberries de Robert Frost, elle ne pouvait qu'être romantique et elle a séduit le public.

Le Concerto pour piano n° 23 de Mozart,  qui faisait suite nous a permis de retrouver avec un immense plaisir Vincent Mussat, jeune et talentueux pianiste, fidèle au Festi'Val d'Arly depuis 2019. Avec l'OSFVA, dirigé par Aurélien Azan Zielinski, il nous a offert un moment de grâce, de beauté, en dehors du temps et de ses inquiétudes et tourments.

Chez Tchaikovski, Symponie n° 4, comme chez beaucoup de compositeurs russes, l'inquiétude et les tourments ne sont jamais absents, est-ce dû au passé et au présent de ce pays, et après avoir été au ciel avec Mozart nous avons retrouvé la terre et ses habitants dont l'histoire est souvent, trop souvent, douloureuse.

Ce concert nous a donc fait connaître trois approches de la composition musicale, toutes trois excellemment servies par l'OSFVA, son chef et pour Mozart, le soliste. Nous attendons l'an prochain avec impatience !

 

Réécrit pour le Dauphiné libéré. 

Au vu de comptes-rendus d'animations locales, de moindre importance, ce n'est que mon avis, parus dans ce quotidien, j'ai envoyé mon papier ci-dessus à sa rédaction. Il n'a pas été publié sous prétexte de seuls critères techniques, trop long, trop tard. Par ce temps pluvieux, j'ai pris le temps de le réécrire.

Le samedi 16 join, à 17 h, l'église de Saint-Nicolas-la-Chapelle accueillait le concert de clôture du Festi'Val d'Arly. Le public débordait à l'extérieur et a ovationné l'OSFVA, dirigé par Aurélien Azan Zielinski. Trois oeuvre ont été données: une création, Blueberries Variations de Robin Melchior; le concerto n° 23 de Mozart avec Vincent Mussat au piano et la symphonie n°4 de Tchaikovski.

Voila l'écriture que l'on demande aux correspondants locaux de presse alors que les annonces recrutant de nouvelles plumes, se permettent un: vous aimez écrire ... alors cette activité esr faite pour vous !

 

Faits divers, autrefois.

 

Le Patriote Savoisien du 30 juillet 1880. 

Le Courrier des Alpes du 16 octobre 1879.
 

Jourd'Images.

 

Jourd'Images.

 

Les derniers feux du Festi'Val 'Arly.

 L'an dernier.

Le Festi'Val d'Arly s'achemine vers sa clôture, les 15 et 16 août prochains. Selon la coutume, c'est l'Orchestre Symphonique du Festi'Val d'Arly, dirigé par Aurélien Azan Zielinski, qui sera à l'honneur. Au menu, Mozart dont sera donné le concerto pour piano n°23, avec Vincent Mussat au piano, et Tchaïkovski et sa Symponie n°4. Ces pièces du répertoire classique ou romantique seront précédées d'une création, celle Blueberries Variations de Robin Melchior. Une oeuvre écrite à la mémoire du compositeur Julien Gauthier, qui a été tué par un ours au Canada, elle s'inspire d'un poème de Robert Frost, hommage à la montagne, à sa beauté sauvage et à ses habitants. Concerts donnés, le 15 août, à 20 h, en l'église de Megève et le 16 août, à 17 h, enl'église de Saint-Nicolas-la-Chapelle. Entrée libre comme tous les concerts du Festi'Val d'Arly. Auparavant, deux soirées sont proposées, le 12 août, à 20 h, avec un quintette de cuivres, issu de l'OSFVA, en l'église de Saint-Nicolas-la-Chapelle, avec des oeuvres classiques et contemporaines et le 13 août, à 20 h, avec le Quatuor Bedrich, cordes et des musiciens de l'OSFVA qui proposeront un programme allant de Purcell à Britten en passant par Barber.

Camp chantant de Montagne et Joie.

Montagne et Joie permet à de nomreux jeunes de bénéficier de la montagne, actuellement en Haute-Savoie à Bonne et de pratiquer le chant. Trois concerts sont donnés en fin de séjour, cette année à Thorens-Glières, Le-Petit-Bornand-les-Glières et Saint-Nicolas-la-Chapelle. Dans notre village, c'est depuis la fin des années 1970 que nous avons le plaisir de les recevoir et leurs camps s'y sont déroulés plusieurs étés, aux Aubriettes puis à Marcinelle-en-Montagne. En ces années 1970, les Camps chantants se tenaient à Nant-Cruy, commune de Sallanches mais paroisse de Cordon. L'institut de musique sacrée de Lyon y possédait un centre de vacances et les concerts étaient donnés à Cordon, et en alternance à Megève, Combloux ou Sallanches. Après les avoir entendus à Cordon, ils donnaient les Vêpres de la Vierge de Monteverdi, conquis, je les ai invité à venir à Saint-Nicolas-la-Chapelle. Ce que le P Louis Bouiller a accepté d'emblée et c'est ainsi qu'une tradition s'est instaurée, après ce premier concert dont le programme offrait le Te Deum de Marc-Antoine Charpentier. Depuis des années, l'IMS de Lyon a passé la main à une association, Montagne et Joie, qui nous permet chaque été d'apprécier le talent et la fraicheur des jeunes choristes, dirigés par  Charlotte Legrand et accompagnés au piano par Vincent Coiffet, ça encore été le cas ce 27 juillet. A l'année prochaine, avec plaisir.

 

 

 

Les choristes ont été croqués par un artiste dont je vais rechercher le nom afin de créditer sa contribution. 

On s'éclate avec les cuivres.

 

Des cuivres éclatants.

Ce mardi soir, 12 août, l'éclat de la musique des cuivres a rejoint celui des couleurs et des mouvements de nos retables baroques qui sont l'écrin parfait pour cette musique; Une musique qui a attiré un très nombreux pulic, les habitués du festival étant rejoints par ceux qui habituellemnt hésitent à pousser la porte de la " grande musique " . Peut-être y prendont-ils goût et viendront découvrir d'autres instruments, d'autres répertoires, ils sont attendus, vendredi à 20 heures à Megève et samedi à 17 heures à Saint-Nicolas-la-Chapelle, le programme des concerts de clôture ne les décevront pas.

Jourd'Images.

 

Communiqué de la mairie de Saint-Nicolas-la-Chapelle.

" Je souhaiterai que tu mettes un message sur ton site suite à un départ de feu à l’église Saint Nicolas ; la nappe de l’autel à la Vierge a été entièrement brûlée par un acte volontaire ce dimanche vers 18h30.

Grâce à la réactivité d’un résident secondaire de passage à ce moment là qui a sorti la nappe en feu, les dégâts ont été moindres mais la bordure du retable a été noircie ainsi que la marqueterie au sol et le parquet.

Les gendarmes sont intervenus hier soir et une plainte a été déposée par la mairie.

 L’église est fermée toute la journée de ce ludi 11 août et il est demandé à tous la plus grande vigilance d’autant plus que les cérémonies du 15 août approchent. "

 

L'autel qui a été touché, cliché d'Yveline Lecharpentier.

Dans ces conditions, la visite commentée de ce lundi 11 août est annulée. 

 

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Rouleaux d'été.

 

 

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Musique russe.

 

Dans le cadre du Festi'Val d'Arly, Saint-Nicolas-la-Chapelle a accueilli, le 31 juillet, le Trio Euterpe, Florence Binder, violon; Denis Boez, alto et François Michel, violoncelle; auquel s'était jointe Virginie Michel, violon, pour former ainsi un quatuor à cordes. Deux pièces figuraient au programme, de Joseph Haydn, le Quatuor op 77 n° 1 en Sol majeur et d'Alexandre Borodine, le quatuor n° 1. Je laisse la plume à plus compétent que moi pour ce qui est d'Haydn. Par contre, l'oeuvre de Borodine m'a touché, comme souvent la musique des grands compositeurs russes, elle est chargée d'émotion retenue, d'inquiètude et même sous des apparences festives elle ne peut cacher une grande gravité, peut-être est-ce dû au fait que les Russes n'ont connu que des pouvoirs autoritaires, des tsars à Poutine, en passant par Lénine et Staline, hormis le bref et incertain intermède Gorbachev.

Jourd'Images.

 

Un livre et une exposition.

 

De 1950 à 1962, Michel Delalonde, Normand, a vécu à Saint-Nicolas-la-Chapelle pour des  raisons de santé suite à sa captivité en Allemagne. Parmi ses activités durant cette période il a photographié avec talent , on peut le rattacher à l'école humaniste, la vie locale sous tous ses aspects, les paysages, l'art religieux et les gens du pays. Un beau livre, Le Val d'Arly de Michel Delalonde, préfacé et annoté par Jean-Luc Joseph et édité par Art et Culture en Arly, vient de sortir et rassemble un choix effectué parmi ses nombreux clichés. Cet ouvrage est en vente lors de l'exposition estivale, ouverte jusqu'au 17 août, de 16 à 19 h, dans les locaux de l'école du village.