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dimanche 31 mars 2019

Du lundi 25 au samedi 30 mars, les Balcons du Mont-Blanc ont vécu un moment exceptionnel en accueillant la rencontre de 140 membres du Ski-Club International des Journalistes, SCIJ, venus de 30 pays. Cette année 2019, l'organisation revenait à la Belgique, qui faute de pistes sur son territoire a choisi le site de Marcinelle-en-Montagne, aujourd'hui, Balcons du Mont-Blanc, enclave carolorégienne à Saint-Nicolas-laChapelle. Placées sous la houlette de Bruno Schmitz, de la RTBF, président de comité d'organisation, ces journées ont mêlè autour de deux compétitions amicales des moments de travail, de découverte et de détente. La première épreuve, un slalom géant, s'est déroulée le 26 à Praz-sur-Arly avec la victoire, chacune ou chacun dans sa catégorie, de Wu Acme, Petr Mich, Dario Cavalière, Matjaz Albreht, Pétra Lesjak Tusek, Gisella Motta et Malnar Branka. L'épreuve de ski de fond, le 28 mars aux Saisies, a vu le succès Jana Janba, Mata Grgic, Pétra Lesjak Tusek, Matjaz Albreht, Miroslav Parobek et Blaz Mocnik. En soirée des tables rondes ou conférences  réunissaient les participants sur des sujets variés: comment convaincre les enfants de revenir skier une fois adultes par l'ESF et Savoie-Mont-Blanc; comment débusquer les Fake news par des journalistes de l'AFP; les nouveaux produits et l'évolution des pistes et l'histoire de Marcinelle-en-Montagne par Elisabeth Mathieu, de la Gazette de Charleroi et Bruno Schmitz. Les journalistes se sont aussi réunis en assemblée générale. Ce programme chargé a cependant laissé des moments de découverte ou de détente: ski libre sur les pistes de l'Espace Diamant, visites d'Annecy ou de la coopérative fruitière du Val d'Arly et, Belgique oblige, présentation de la première bière bio-dynamisée sans compter les soirées et le dîner de gala clôturant le séjour passé sous le soleil du Val d'Arly.

Cliché: SCIJ.


Bruno Schmitz et Elisabeth Mathieu.



Le Ski Club International des Journalistes (SCIJ) est né en 1955, à Méribel-les-Allues. Ses initiateurs furent le Français Gilles de La Rocque et le Suisse Marcel-A. Pasche. Gilles de la Rocque fut durant quinze ans rédacteur diplomatique dans le groupe France-Soir. C'est ainsi que, constatant, lors de la conférence de Berlin de 1954, l'absence de tout contact entre journalistes de l'Est et de l'Ouest, il imagina de défier cette conséquence de la guerre froide en proposant à ses confrères de se retrouver dans le Ski-Club des journalistes, qui surgit donc en 1955, à Méribel-les-Allues. Comme le Français était un grand montagnard et un skieur passionné, il résolut, avec l'aide d'un autre grand sportif, le Lausannois Marcel Pasche, de convier chaque année des journalistes de tous pays à disputer des épreuves de ski et à mettre à profit l'ambiance détendue de l'après-ski pour des échanges exempts de chauvinisme. A Méribel-les-Allues, on commença modestement : 65 journalistes participèrent, venus de huit nations (France, Suisse, RFA, Italie, Autriche, Belgique, Yougoslavie et même le petit Luxembourg). Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et les Pays-Bas se joignirent dès la seconde rencontre, organisée en 1956 à Sainte-Croix/Les Rasses en Suisse. Si l'URSS ne fit son entrée dans le club qu'en 1961, lors de la rencontre de Courchevel, le SCIJ avait, dans l'intervalle, accueilli la RDA, la Bulgarie, la Hongrie et la Tchécoslovaquie. L'effectif des participants n'a cessé de croître, avec un record absolu de participants atteint en 1994 à Are, en Suède. Ce fut cette année-là aussi, de même que l'année précédente à Sestriere en Italie , que le nombre de pays représentés atteignit un pic : pas moins de 37 nations représentées ! Certaines délégations étaient sans doute un peu exotiques ou venues de pays peu ouverts aux sports de neige (Afrique du Sud, Chine populaire, Israël, Algérie), mais au SCIJ plus qu'ailleurs l'essentiel est de participer. Au temps du Rideau de fer et de la guerre froide, le SCIJ a représenté des occasions de contacts uniques pour des journalistes de tous pays. Exemple: c'est un jour de l'hiver 1977 à Bakouriani ,Caucase, à l'époque Brejnev, que le SCIJ imposa pour la première fois une délégation israélienne en URSS. Non loin de Gori, ville natale de Staline! A l'inverse le SCIJ avait imposé une délégation soviétique dans l'Espagne de Franco quatre ans auparavant. Les enjeux ne sont plus les mêmes depuis 1989, mais l'esprit demeure: mieux se connaître pour mieux s'aimer ou mieux accepter les différences. Propos recueillis auprès de Bernard Le Grelle.



Texte et clichés de Christian Cochard.





Nous étions 25 pour cette belle randonnée dans la vallée de l'Arvan. Départ au hameau des Chambons pour prendre la direction du lieu dit les Côtes et attaquer la montée des Enversins. Au début un peu de manque de neige par endroit ​avant de trouver une très bonne neige à partir des chalets des Buffettes. La montée vers Pré Vernay se déroulant de très bonne manière, j'ai donc rajouté la traversée du Praz Sauge et du Pré Vernay, nous sommes passés au côté de l'altisurface pour rejoindre Pré Vieux et faire notre pause repas. Les plus en forme ont rajouté un morceau en montant jusqu'à la Traverse et faire quelques pas sous la Pointe du Châtel avant de revenir prendre leur repas avec le reste du groupe.‌ Petit moment de convivialité avec bonne humeur et rires sans oublier les délicieuses pâtisseries de Ghislaine au moment du café. Après cette pause d'environ une heure, nous voila parti pour la descente mais avec la variante traditionnelle, qui nous a fait prendre tout droit par Capelain, les Colonnes  bifurquer vers la Ville et rejoindre la route du Poingt. Le dernier kilomètre sans les raquettes sur un chemin de qualité nous a permis de terminer cette belle randonnée en roue libre. Maïka crevée a terminé sur mon sac car elle n'a pas cessé de jouer avec Irénée, Éliane, Carole et beaucoup d'autres. Le pot traditionnel a été pris au hameau de la Chalp dans le bar restaurant "le Bouj" face aux Aiguilles d'Arves (encore elles) ou j'ai rencontré de nombreux amis. Que du bonheur. (Dicton de mon frère Bernard).
 




 

L'assemblée générale de l'Association Flumerane Loisirs Et Culture, AFLEC, s'est tenue ce dimanche matin 31 mars au Centre social de Flumet sous la présidence de René Burnet-Merlin. Après l'approbation à l'unanimité des rapports, moral et financier, la discussion s'est engagée longuement sur la participation de l'association aux fêtes de l'attelage et de la race d'Abondance. Enfin, quatre administrateurs sortants, Nicole Calmand, Josiane Bibollet, Clémence Marin-Lamellet et Cécile Morand ont été réélus et Blandine Barrioz et Jean-Marie Dozo, les rejoignent au sein du conseil d'administration qui élira son bureau tout prochainement.




mercredi 27 mars 2019
Ce matin, une prétendue fan de Sissi  a appris que cette dernière avait été assassinée à Genève,  le  10 septembre 1898, par un anarchiste, Luigi Lucherini. C'était plutôt une fan de Romy ! 
Si son projet de sortie de l'Union européenne est adopté, la Première ministre britannique démissionnera ! De Gaulle lui, avait démissionné parce que son projet de réforme avait été refusé. Les Anglais nous étonnerons toujours.
Selon L'internaute actualité, le gouvernement compte six ministres sous tutelle. Ce ne sont pas les  plus irresponsables.
lundi 25 mars 2019

Ce dimanche 24 mars quelques membres du groupe folklorique le Biau Zizé ont revêtu les habits des siècles derniers et ainsi costumés ont participé au  dix-septième  Chemin des contrebandiers. Sur les hauteurs de Praz-sur-Arly ils ont parcouru onze kilomètres bénéficiant du soleil et d'un panorama exceptionnel et ce sans l'ombre d'un gabelou. Ce fut une excellente mise en jambes, en effet les représentations à la FNACA reprennent avec une première ce vendredi 29 mars.


dimanche 24 mars 2019
Le 31 août 2018.

La circulaire, la dégauchisseuse, le tour à bois sont orphelins depuis hier, lundi 18 mars, Lucien Bibollet, Lulu des rassins, n'est plus. Il nous a quittés à l'âge de 61 ans après quelques jours d’hospitalisation. Ses funérailles seront célébrées le lundi 25 mars, à 11 heures, en l'église Saint-Théodule de Flumet.
 Le 23 août 2015. 

Célibataire et sans famille proche, décédé à l'âge de 61 ans, il était un personnage du bourg, un peu à la marge mais rendant de multiples services et avait appartenu au corps des sapeurs-pompiers et au groupe folklorique, le Biau Zizé.  Ce qui n'a pas été oublié comme en a témoigné la belle assistance qui a participé à ses funérailles religieuses en l'église du village ce lundi 25 mars.
Texte et clichés de Christian Cochard.
 
Nous sommes partis dans un premier temps en direction du barrage de Saint Guérin pour aller au lac des Fées, mais arrivés aux Guérats la route était coupée et comme nous étions très loin de notre objectif nous avons pris la direction de Boudin pour monter au col du Pré mais en arrivant à Boudin la route était au niveau du village. Nous sommes donc partis direction du col par la route enneigée en passant au Darbet, aux Mourets et aux Tours avant d'arriver au col et prendre la direction de la Roche Parstire dans un neige transformée et une trace bien faite. Vers 12 h descente directe sur le restaurant fermé de la Pierre Menta ou nous sommes restaurer sur la terrasse. Le temps était très beau, le soleil très chaud  et nous en avons profité pour prolonger notre pause. La descente se déroula par une variante assez raide par les Ravines Rouges et l'alpage des Plans. Après cette raide descente nous avons retrouvé nos voitures, pour retourner dans la vallée et s'arrêter dans un bar à Beaufort pour le rituel pot de fin de randonnée. Maïka était fatiguée après avoir joué toute la journée avec Irénée et Éliane.








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