



André Pringolliet est un homme politique français né le 23 janvier 1879 et mort le 13 juillet 1965 à Ugine, en Savoie.
Fonctionnaire à la mairie d'Albertville, puis cultivateur-négociant, il est président de la Fédération des mutuelles du bétail de la Savoie quand il s'engage en politique. Il devient en 1908, à 29 ans, maire de sa ville natale, en gagnant contre le candidat soutenu par le propriétaire des aciéries d'Ugine, Auguste Proust. Acteur de la modernisation de la commune (routes jusqu'aux hameaux, constructions d'écoles, assainissement, mise en place de la séparation de l'Église et de l'État...), il est ensuite élu conseiller d'arrondissement, en 1910, puis conseiller général, en 1919.
Au début des années trente, battu aux législatives par le radical Antoine Borrel en 1928, il rejoint la SFIO de Savoie (laminée après la création de la SFIC en 1920), dont il reprend la direction.
En 1932, il se présente une deuxième fois à la députation, et est élu de peu. Il est le premier député socialiste à être élu en Savoie. Après un passage au nouveau Parti socialiste de France, issu d'une scission de la SFIO, il est réélu de justesse en 1936, cette fois-ci en tant que membre de l'Union socialiste républicaine, il réintègre finalement la SFIO.
Le 10 juillet 1940, André Pringolliet vote en faveur de la remise des pleins pouvoirs au Maréchal Pétain. Il rejoint ensuite la Résistance uginoise, puis retrouve son siège de maire de 1944 à 1945, avant de se voir interdit de mandat à la Libération et exclu de la SFIO. Il retrouvera néanmoins en 1947 son mandat de maire, qu'il exercera jusqu'en 1959. Son beau-frère Jules Bianco lui succède ensuite à la mairie.
Il meurt en 1965.
Informations en provenance de Wikipédia.
En 430, St Augustin, évêque : converti à 33 ans grâce aux prières de sa mère Ste Monique, et baptisé par St Ambroise à Milan. Il défendit la Foi, menacée par l‘hérésie de Pélage, et l‘unité minée par le schisme de Donat. Il est, par sa "lettre 211"" (qui devint la Règle de nombreuses communautés), l‘un des fondateurs de la vie religieuse en Occident. Il est le Docteur de la charité : ""Aime, et fais ce que tu veux !"". Son œuvre écrite est telle que Possidius, son biographe, se demandait s‘il serait jamais possible de la lire toute entière ! On ne saurait contempler le mystère de la Ste Trinité, ou sa vie en nous par la grâce, méditer les écrits de St Jean ou s‘essayer à la philosophie de l‘Histoire, sans rencontrer St Augustin ! Explorateur de Dieu, il a creusé vers Lui les voies d‘approche pour nous, et nous a résumé en ces quelques mots tout notre destin : ""Tu nous as faits pour Toi, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu‘il ne repose en Toi !""."
Ce commentaire est emprunté au site des moines de Tamié.