mardi 15 février 2011

La Voix de nos clochers. Février 1951.

Chaucisse, paroisse sans prêtre, la maison est vide. -Quoi de nouveau, là-haut à Chaucisse? - C'est mort! on n'a plus de curé, plus de messe sinon le dimance soir, le presbytère est vide. tel était le dialogue qu'on pouvait entendre un jour de marché à Flumet. Le cinq octobre 1950, le presbytère le plus haut, en altitude, de notre diocèse, fermait ses portes. La paroisse de Chaucisse était privée de son chef spirituel. Le représentant du Christ, qu'est le prêtre, quittait la paroisse pour continuer sa tâche ailleurs. désormais, au presbytère, le coup de sonnette reste sans réponse; plus la voix familière au sommet de l'escalier, plus l'accueil habituel lorsque Pierre ou Paul allait chercher son journal, le dimanche, ou un renseignement. Si vous êtes tous sous le coup d'une peine, si vous avez des difficultés, inutile d'aller sonner aux pied de cet escalier qui vit monter beaucoup d'âmes en peine et redescendre soulagées, car vous ne trouverez plus devant vous cet homme choisi par Dieu pour vous éclairer, vous guider vers Lui et vous encourager. Pour lire la suite je vous invite à appuyer ici.

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