Que ne puis-je dormir tout le temps de l'hiver !
En sa longue veillée je me morfonds de rage
à voir que sa puissance est si vaste et plénière
Mais il faudra, par Dieu, qu'il cède place à Mai !
Je cueillerai des fleurs là même où gît le givre.
En sa longue veillée je me morfonds de rage
à voir que sa puissance est si vaste et plénière
Mais il faudra, par Dieu, qu'il cède place à Mai !
Je cueillerai des fleurs là même où gît le givre.
Walther von der Vogelweide - Nostalgie du printemps
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