" Il y a toujoursAu bout du chagrin une fenêtre ouverteUne fenêtre éclairéeIl y a toujours un rêve qui veilleDésir à combler, faim à satisfaireUn cœur généreuxUne main tendue, une main ouverteDes yeux attentifsUne vie, la vie à se partager.MourirPenser à la mort,Y penser simplement à la fin de la journée.Elle n'est pas laide; elle n'est pas triste;Grave seulement, entourée d'inconnu.C'est la porte qui s'ouvreUn peu plus tôt pour les uns,Un peu plus tard pour les autres,Sur le pays mystérieux, vers lequel nous allons tous ". Paul Eluard. Un poème dont je ne me lasse* pas, illustré par la tombe, à Héry sur Ugine, d'une photographe dont j'aime l’œuvre. * Cliquez sur les libellés pour lire tous les messages.
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