Une seule lectrice de ce blog a donné une réponse à ma question du lundi 29 septembre. Je vais donc, comme promis, lui conter, à elle et à mes autres lecteurs, mes rencontres avec la Vénus de Détrier. La première date de plusieurs décennies, j'étais encore jeune et elle toujours jeune, c'était au Musée savoisien à Chambéry et elle m'a plu! Plus récemment, en février 2013, j'ai passé une journée à Chambéry, y ai découvert le musée des Beaux-Arts, son Portrait d'un inconnu, attribué à Paolo Uccello et qui a inspiré à André Gilbertas un beau roman, fiction qui a précédé la réalité, le vol de ce tableau imaginé par l'auteur s'étant réalisé par la suite. Et ce mois de février, point de Vénus de Détrier dans les salles du Musée savoisien, elle m'avait posé un lapin! Je me suis inquiété de son sort auprès d'une gardienne. Des salles étaient en cours de réaménagement et la beauté gallo-romaine avait été exilée dans une réserve dont la gardienne précitée m'a ouvert les portes pour me permettre de faire ma cour. Rendez-vous dans quelques autres années, elle, sera toujours là, jeune et belle.
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