Pour beaucoup la musique contemporaine n'est pas audible ! Un violoncelliste uginois disait qu'elle lui rappelait les bruits de l'usine où il travaillait. Ce musicien n'a pas connu, Karl Jenkins, Laurenz Maierhoff, Carly Simon, C-H Johnson ou Raymonds Tiguls, dont les œuvres ont été offertes ce jeudi 22 juillet par l'Ensemble vocal éphémère et le Chœur éphémère du Val d'Arly, dirigés par Frédéric Pineau et accompagnés par Olivier Benoît, piano, Anne Isambert et Guillaume Saint-Pierre, percussions, et qui infirment ses propos. Leur musique touche, émeut, captive autant que celle des maîtres des siècles passés mais en résonance avec le monde actuel, ses espoirs et ses inquiétudes. Le public, qui n'était pas spécialement jeune, a fait un triomphe aux interprètes, musiciens et à Frédéric Pineau, chef de chœur dont la fougue entraine les chanteurs vers le meilleur. Pour conclure, ne faudrait-il pas inverser le rituel de fin de concert qui veut que les artistes, qui ont tout donné, s'inclinent à plusieurs reprises, devant le public qui a tout reçu ?
vendredi 23 juillet 2021
Un temps fort du Festi'Val d'Arly.
Ci-dessus, clichés de Xavier Fisson.
Ci-dessous, clichés ebfoto.
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