dimanche 21 juillet 2013

Au piquet.

Je ne pense pas que M Camus ai eu l'intention de qualifier de traitre tous ceux qui apprennent une autre langue que le français, c'est aussi de la culture. Mais en revanche, sacrifier notre belle langue sur l’hôtel de l'université au prétexte que l'étranger y trouvera son compte, quelle imbécillité, on peut même alors aller jusqu'à la traîtrise en effet puisque nous sommes dans le sillage du "remplacement". Commentaire du Journal de Renaud Camus sur Boulevard Voltaire.

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