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Si j'ai gravi de très nombreuses fois le Charvin et moins souvent, l'Etale, je n'avais  jamais mis les pieds sur le sommet de notre commune, la pointe de Mandallaz ou les Trois aiguilles ou encore plus simplement pour nos anciens, les Aiguilles qui dominent les Stallets du haut de leurs 2277 mètres. Habitant quelques dizaines de mètres au-dessus du point le plus bas, le pont de Flon, côté à 751 mètres, j'ai entrepris cette randonnée ce matin et avec malheureusement un objectif non complètement atteint. Parvenu à la première pointe, mes jambes et particulièrement un genou ont demandé grâce et j'avoue aussi que la court passage aérien qui permettait de gagner la deuxième pointe m'a impressionné ne pratiquant plus assidument la randonnée alpine depuis quelques années. Un mauvais pas et c’était gâcher une belle journée ! Déranger les secours et les maires, celui de Manigod ou celui de Saint-Nicolas-la-Chapelle, selon le versant de la chute ! L'année prochaine j'aurai un an de moins pour une nouvelle tentative, en partant de plus haut pour garder de la frite pour le sommet. Pour la montée j'ai suivi un itinéraire tracé par un mulet car, " qui veut aller haut, ménage ses sabots ", et jusqu'au pied du Treu, c'est par de grands lacets que j'ai grimpé. Le chemin Jules Rimbod jusqu'à la Lozerette, puis les Sierres, la Mouille, la Tête, les Esselières et enfin les Avenières. Le Treu, gravi droit dans la pente avant de descendre et remonter vers les Stalets où je me suis accordé une courte pause, la première, pour boire un café et grignoter quelques biscuits avant de rejoindre les Merdassiers du milieu, point de départ de l'ascension. Le chemin des Mortines n'a pas été tracé par un mulet, avare de lacets, il nous conduit en une heure trente au passage de Champ-Tardif d'où l'on découvre la vallée de Manigod et les montagnes environnantes. Aucune musique ne montait du village, orgue et accordéon étaient silencieux, Christophe Pessey a oublié de me souhaiter la bienvenue sur ses terres ! Et après une pause déjeuner d'une demi-heure, j'ai poursuivi vers le but fixé, à trente minutes selon les topos, sans vraiment l'atteindre. Pour le retour, j'ai cherché à varier et depuis Merdassier du levant, j'ai coupé à travers les pâtures désertes pour rejoindre le pied du versant Nord du Treu, évitant ainsi une montée aux Stalets. De là j'ai gagné les Avenières par le chemin de Peleu, puis Tré-le-Sé, la Voûte, avec un crochet à la croix de la Bècque, les Crêts, les Lanchers, le Plan-Lambé et le Passieu avant de revenir presque dix heures plus tard à mon point de départ.

Avant d'entreprendre cette grimpée j'ai consulté la toile. De nombreux randonneurs ont raconté leurs balades vers ce sommet et tous mettent en garde pour la phase terminale. L'un des témoignages révèle une rare inconscience de son auteur. Il était accompagné de trois enfants, de six, sept et huit ans. Pour la traversée des aiguilles, il préconise de ne pas y engager le plus jeune et pour les deux plus grands de leur donner la main ! Sur une crête très étroite où il n'est pas possible de marcher de front, c'est là une sécurité toute illusoire, ce qu'il faut c'est une corde utilisée dans les règles.
 
C'était en octobre 2017
et je n'ai pas renouvelé la tentative. 
 
Les adultes sont de grands enfants, certains se passionnent pour les trains électriques, voitures miniatures ou soldats de plomb. Les " Enfants de Mac Gyver " eux voient, plus haut, plus loin dans le temps et l'espace, leur temps libre est consacré à la construction d'une maquette 1/1 de la Porte des étoiles, le vaisseau futuriste venu tout droit de la série Stargate. Les pièces réalisées au cours de longs mois ont été assemblées ces samedi 27 et dimanche 28 août sur la place des Trois Rois par les nombreux membres de l'association réunis pour l'événement. Événement qui a attiré durant ces deux journées près de 500 visiteurs dont certains fans venus de très loin. Visiteurs qui ont pu se documenter sur les stands ceinturant la place ou emporter souvenirs et équipements. Et c'est depuis cette petite place que la " Porte des étoiles " a pris son envol, elle est attendue jusqu'en Amérique ! Un juste retour au pays d'origine !






Ci-dessus, clichés de Patrick Saint-Pierre.


 





Ci-dessus, dimanche matin.
 

Ci-dessus, ce samedi 27 août,
en cours de construction.
 


Les garages du chalet II des Balcons du Mont-Blance abritent depuis quelques jours un atelier qui vous plonge en pleine science fiction. Les  " Enfants de Mac Gyver " y construisent une réplique 1/1 de la Porte des étoiles, de la série TV, Stagate 1. Ce projet né en 2010, un défi que les membres de l'association se sont lancé va se concrétiser, samedi 27 et dimanche 28 août prochains, de 9 h 30 à 18 h, par une exposition, place des Trois rois à Flumet. Fans de la série, de la science fiction et curieux ne manqueront pas ce rendez-vous peu ordinaire.
 

 Pour cet automne et cet hiver, l'association propose un riche programme dans de nombreuses disciplines et activités.

Des ateliers artistiques et musicaux: guitare, piano, chorale Chant'Arly, chant, dessin et porcelaine froide.

Des ateliers sportifs: savate boxe française, danse modern jazz, gym, gym fizz, gym douce, yoga famille, yoga et zumba.

Le centre de loisirs, Lou Croué, sera ouvert du 24 octobre au 4 novembre.

Les foyers aux collèges de Megève accueilleront, les mardis au collège Emile Allais et les vendredis au collège Saint-Jean-Baptiste. 

Le programme des activités à destination des 10-17 ans sera préparé le samedi 10 septembre, salle du centre social, les jeunes intéressés sont attendus entre 11 et 16 heures.

Plusieurs temps forts ponctueront la saison: exposition sur la mémoire, salle polyvalente de Notre-Dame-de-Bellecombe, le 16 novembre, toute la journée;  concert de Baptiste Dupré, salle polyvalente de Crest-Voland, le 23 novembre à 30 heures; VVA fêtera Noël, salle polyvalente de Crest-Voland, le 10 décembre, horaire à préciser; conférence sur les arnaques avec l'UFC à la salle polyvalente de Flumet, 3 octobre à 19 heures et enfin des séances de Ciné-Club, avec Tito et moi, en septembre, Everest, de la mer à la montagne, en octobre et l'écureuil qui voyait tout en vert, en novembre, lieux, dates et  horaires à préciser.

Des rendez-vous familles, avec des ateliers bébés-parents, des ateliers de création textile, de la spéléologie en famille et des ateliers créatifs de Noël.

Des sorties: fort de Tamié, le marché de Turin, la biennale de l'art contemporain, la foire de la Saint-Ours et un stage de survie.

Des journées de formation: atelier d'écriture, formation aux premiers secours 3 et apéro astro.

Pour les séniors, café informatique, création textile, atelier d'écriture, atelier mémoire et des sorties: fort de Tamié, la Clusaz et Manigod, randonnées à pied ou à raquettes, Chambéry et le lac du Bourget, yoga, loto et aussi, déjeuner au Cabaret du monde.

Vivre en Val d'Arly est aussi une Maison France Services, dispose d'un espace informatique, peut conseiller en informatique et soutient la vie associative locale.

Pour de plus amples renseignements sur les tarifs, dates, horaires et inscriptions, une adresse, 354, avenue du Lac à Flumet, un téléphone, 04 79 31 80 04, un courriel, vivreenvaldarly@gmail.com et aussi un site: www.vivre.en.valdarly.fr


Nous n'étions que dix pour cette magnifique randonnée à proximité du col de l'Iseran. Départ au lieu dit le pont de la Neige en direction du lit de l'ancien glacier de la Jave. Une heure trente après nous étions au col des Fours et nous avons fait deux équipes, une en direction de la pointe du Grand Fond et l'autre directement vers le Paléaou Blanc, magnifique sommet qui domine toute la vallée avec une vue extraordinaire sur les sommets et les glaciers depuis la Levanna Orientale à la Bessanèse en passant par l'Albaron. Nous nous sommes tous retrouvés au col des Fours, pour rajouter un morceau en escaladant la pointe des Fours. Arrêt repas au bord du lac du Fond, dans le lit d'un glacier lui aussi disparu. Après ce moment de repos nous avons repris la descente au parking par le chemin de montée car une variante aurait été difficile à trouver. Un temps tempéré pour cette très belle ballade en Haute Maurienne qui  deviendra une classique de notre association.

 









 

 

Le philosophe Socrate disait : quand j'étais petit, je n'aimais pas me lever tôt, ma mère détestait ce comportement parce qu'elle voulait que je devienne ingénieur... 
Elle est donc allée avec moi chez la maîtresse pour que celle-ci me raconte une histoire...
 Je vais te raconter une belle histoire et tu me diras ce que tu en déduis, ok..?
 Ok !
 Il y avait deux oiseaux. L'un d'eux, se levant tôt, mange des insectes et en nourrit aussi ses petits.
Le deuxième se réveillant plus tard, ne pas trouve pas de quoi manger et faire manger... 
Qu'avez-vous déduit de cette histoire Socrate ? 
 Les insectes qui se lèvent tôt, madame, sont toujours mangés par les oiseaux !

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