Mes recherches sur la fratrie Ouvrier-Bonnaz m'ont permis de retrouver Jean-Marc Jacquier de la Kinkerne dont certains se souviennent des prestations , fin des années 1970 et début des années 1980, à St Nicolas la Chapelle à l'initiative du Foyer Rural.En décembre 1986, la revue MODAL, aujourd'hui hélas disparue, avait publié un entretien que Louis Ouvrier-Bonnaz avait accordé à Jean-Marc Jacquier. Je remercie ce dernier de me permettre sa publication dans l'Echolatain.

Pour la première fois depuis sa création en février 2008, l'Echolatain a dépassé la barre des deux mille lecteurs/mois ( 2357 ). Je vous remercie de votre fidélité, de vos commentaires, encore trop peu nombreux, qui rendent ce blog plus interactif et de vos apports de documents et photographies qui me permettent vous associer à mes recherches et publications.

Au cours de mes recherches sur la fratrie " Ouvrier-Bonnaz " je suis arrivé sur le site très intéressant du Centre des Musiques Traditionnelles du monde en Rhône-Alpes.

Le Charvin par Claude Théron.

C'est Annick, la sœur de Martine qui a pris la photographie. Je garde le souvenir de l'indignation de Annick et Martine lorsque Georges a abandonné une bouteille plastique vide au sommet!

Après Louis, voilà un hommage à André et à toute la fratrie Ouvrier-Bonnaz. Je remercie vivement l'auteur Jean-Luc Joseph et l'éditeur, Trad magazine de leur aimable autorisation de reproduire cet article paru dans le numéro de juillet-août 2007.

Au coup de feu donné par Gilles Petit-Jean Genaz, maire de Passy, les marcheurs ont ouvert, ce matin, vers neuf heures la sixième édition de la montée de Chedde aux Ayères. Le départ des coureurs devait être donné à dix heures. Cette manifestation organisée par les Trotteurs Passerands était animée cette année, au départ et à l'arrivée par le groupe de cors des Alpes du Jorat, Suisse.

Une information glanée dans le bulletin municipal, ( de Flumet ) paru au mois de juillet dernier.

Ses mensurations ne correspondent pas à celles de miss Pays de Savoie et autres. Un kilogramme et cent soixante grammes et plus de vingt centimètres sont celles de cette pomme de terre récoltée par Guy Burnet-Merlin dans son jardin d'altitude, elles la placent certainement sur le podium des beaux légumes!

Quentin et Vincent n'avaient pas encore huit ans. Notez le solide casse-croûte préparé par les mères et protégé par d'esthétiques sachets!

J'ouvre aujourd'hui une nouvelle rubrique où je vous propose les photographies prises lors de mes nombreuses* randonnées au Charvin. N'ayant pas eu la bonne habitude de tenir un carnet de " courses " beaucoup ne seront pas datées. *57 si ma mémoire est fidèle.

La photographie en noir et blanc date des années 1940-1945. Ma mère est accompagnée d'André, un jeune " marseillais " accueilli comme bien d'autres par les familles de la vallée pendant une période de la deuxième guerre. Plus précisément, il était de la Ciotat. Avec son prénom, ce sont les seuls renseignements dont je dispose et je le recherche toujours. Je vous remercie de transférer ce message à vos correspondants habitants la région, Provence-Alpes- Côte d'Azur.

A la veille de leurs soixante cinquième printemps, étés, automnes ou hivers, douze conscrits de la classe 65 et leurs conjoints se sont retrouvés à l'hôtel, le Panoramic, de Flumet pour partager un bon repas, des souvenirs et des projets de sorties.

Reprise inhabituelle pour l'OHM ce vendredi 11 septembre. En effet le compositeur Etienne Perruchon a présenté, Mageva, une œuvre commandée par les musiciens megevans pour enrichir leur répertoire d'une pièce " bien à eux ". En présence de Patrick Melchioretto, président et Yannick Vandini, directeur, c'est Sylviane Grosset-Janin , maire de Megève, qui a reçu des mains du compositeur la partition originale. Les prochaines répétitions seront donc consacrées au déchiffrage des mouvements de Mageva qui sera offert au public au cours de l'année. Nous attendons avec impatience la conjugaison des talents d'Etienne Perruchon et de l'OHM.

Ce n'est pas sans émotion que je vous fait suivre le message envoyé par Jean-Luc Joseph: " Bonjour Edmond, Un beau portrait de Louis de Pansto par son fils René, illustre un des CD de la toute nouvelle antologie de la musique française traditionnelle publiée par Frémeaux & Associés sous la direction de Guillaume Veillet (natif d'Essert-Blay) et grand connaisseur des musiciens du Val d'Arly. Cette antologie de 10 CD est constituée d'enregistrements originaux (et non de ré-orchestrations) depuis les tous premiers enregistrements sonores vers 1900 jusqu'aux années 2005. Concernant le Val d'Arly, le quadrille de René Joly (d'Héry) figure dans le CD n°4 consacré aux Alpes du Nord ".

L'équipe locale du Val d'Arly de la paroisse Ste Anne d'Arly-Montjoie s'est réunie ce jeudi 10 septembre autour des Pères Vesin et Duval. Après le tour des activités de chaque communauté l'équipe a préparé la journée du 18 octobre prochain. Toute la paroisse se rassemblera à Notre Dame de Bellecombe pour participer à la messe dominicale au cours de laquelle le Père Yves Boivineau, évêque d'Annecy remettra leurs lettres de mission aux membres de la nouvelle équipe d'animation pastorale.Un repas suivra pour ceux qui le souhaitent à la salle polyvalente de la station-village. Le Père Vesin a également donné des renseignements sur le pèlerinage paroissial au Simplon, les 3 et 4 octobre prochain.

Aujourd'hui, Mr Nicolas Skarkozy, président de la République, se rendra dans l'Ain pour annoncer les mesures contre la pollution et tout particulièrement les modalités de la mise en place de la " taxe carbone ". Au risque d'être moi-même taxé d'antisarkosyme primaire, je m'étonne de ce déplacement* générateur de carbone alors que la même déclaration pouvait se faire depuis Paris. * Un déplacement présidentiel ne se limite pas à quelques personnes, transports routiers et aériens sont mobilisés à grande échelle, plus grande que celle des pompiers que nous voyons ci-dessous!

La lecture des noms se fait de gauche à droite.

Un oubli, à gauche de Jules Bianco, debout, ? .

Basilique de la Vergen del Pilar. " Notre Dame du Pilier ".

Je vous invite à rendre visite à l'Institut culturel français de Saragosse .

Il y a peu, j'étais comme la vache, j'ignorais tout du Qi Gong et comme elle je l'ai découvert lorsque l'Eau-Vive a organisé un stage conjuguant randonnée dans nos montagnes et séances de Qi Gong, avant le départ, pendant le parcours et après le retour. Les photographies nous montrent que ce programme soutenu ne semble pas avoir éprouvé les stagiaires qui ont pratiqué sous la houlette de Thierry Devauton. Brièvement, le Qi Gong est une gymnastique issue de la médecine traditionnelle chinoise et pour ne pas être bête à manger du foin comme cette pauvre vache, je vous invite à cliquer ici et si vous souhaitez des images qui bougent, là.

Ces photographies sont extraites de la revue " Tuiles et Briques ", du quatrième trimestre 1961.

Aujourd'hui, ce bâtiment n'est plus un lieu de culte, il a été repris par la commune d'Ugine.

Les photographies en noir et blanc ont été prises en 1935 ou 1936 par Marie Rimbod-Pethiod, mère de mon ami Georges que nous voyons au premier plan. Derrière lui, de droite à gauche, Jeanne Pettex-Muffat, sa mère Adèle, son fils Rémi et son mari, Jean-Pierre Pettex-Sorgues. A l'arrière plan, le Clieu d'en Haut.