Vous trouverez ici quelques moments de la vie du village et de la vallée, quelques commentaires, quelques réactions, quelques témoignages du passé, réunis dans le désordre au fil d'une démarche bénévole, personnelle et quotidienne.
Pour aller aux sites proposés par la barre horizontale supérieure, deux clics sont nécessaires, un premier sur l'intitulé du site et un deuxième sur l'image fixe qui apparait, merci.
Pour rechercher un ancien article de ce blog, allez au sommet à gauche.

Les commentaires anonymes ne sont plus publiés.

Et n'oubliez pas d'agrandir les images en cliquant dessus !


Pour me contacter: eburnetfauchez@gmail.com

Messages les plus consultés

Archives du blog

Rechercher dans ce blog

jeudi 28 août 2008
St Grégoire le Grand, voûte de l'église de St Nicolas la Chapelle.
Saint Grégoire le Grand, pape, l'un des quatre docteurs de l'Eglise d'Occident. Fête le 3 septembre. A Rome, en 604, St Grégoire Ier, appelé "le Grand"" : Préfet de Rome, il fonda 6 monastères en Sicile et un 7ème dans sa maison du Cœlius, à Rome, où il se retira. peut-être fut-il moine lui-même ? Il fut 5 ans Légat à Constantinople : il y avait emmené avec lui quelques moines auxquels il commenta le LIvre de Job. Devenu Pape le 3 septembre 590, il organisa la Liturgie : ""Le Sacramentaire Grégorien"" est pratiquement resté ""le Missel Romain"" jusqu'à‘nos jours. Son nom reste attaché au chant ""grégorien"". de lui sont aussi ""les Dialogues"" (qui nous font connaître St Benoît), et le ""Pastoral"" (il était en effet pasteur plus encore que docteur). Face à un monde nouveau, il entre en contact avec les Barbares et envoie en Angleterre St Augustin et ses moines-missionnaires. Ses écrits rédigés avec soin pour être lus par un clerc (il était en effet trop affaibli par la maladie pour se faire entendre du peuple) ont profondément influencé la piété médiévale, et ont fait de lui l‘un des quatre grands Docteurs de l‘Eglise d‘Occident. Et cependant, il gardait la nostalgie du silence qui seul permet d‘habiter dans l‘amour du Créateur. Quand il mourut, cet homme, qui croyait lire dans le ciel les signes avant-coureurs de la fin du monde, avait jeté les bases de la chrétienté médiévale. Ce commentaire provient du site de l'abbaye de Tamié.
mercredi 27 août 2008
Sur la route des montagnes, le médaillon ( 1954 ) , œuvre de Edouard Rigotti, offert à André Pringolliet par les chasseurs du Mont-Charvin

André Pringolliet est un homme politique français né le 23 janvier 1879 et mort le 13 juillet 1965 à Ugine, en Savoie.

Fonctionnaire à la mairie d'Albertville, puis cultivateur-négociant, il est président de la Fédération des mutuelles du bétail de la Savoie quand il s'engage en politique. Il devient en 1908, à 29 ans, maire de sa ville natale, en gagnant contre le candidat soutenu par le propriétaire des aciéries d'Ugine, Auguste Proust. Acteur de la modernisation de la commune (routes jusqu'aux hameaux, constructions d'écoles, assainissement, mise en place de la séparation de l'Église et de l'État...), il est ensuite élu conseiller d'arrondissement, en 1910, puis conseiller général, en 1919.

Au début des années trente, battu aux législatives par le radical Antoine Borrel en 1928, il rejoint la SFIO de Savoie (laminée après la création de la SFIC en 1920), dont il reprend la direction.

En 1932, il se présente une deuxième fois à la députation, et est élu de peu. Il est le premier député socialiste à être élu en Savoie. Après un passage au nouveau Parti socialiste de France, issu d'une scission de la SFIO, il est réélu de justesse en 1936, cette fois-ci en tant que membre de l'Union socialiste républicaine, il réintègre finalement la SFIO.

Le 10 juillet 1940, André Pringolliet vote en faveur de la remise des pleins pouvoirs au Maréchal Pétain. Il rejoint ensuite la Résistance uginoise, puis retrouve son siège de maire de 1944 à 1945, avant de se voir interdit de mandat à la Libération et exclu de la SFIO. Il retrouvera néanmoins en 1947 son mandat de maire, qu'il exercera jusqu'en 1959. Son beau-frère Jules Bianco lui succède ensuite à la mairie.

Il meurt en 1965.

Informations en provenance de Wikipédia.

mardi 26 août 2008
Ci-dessus, deux photographies datées de 2001 par Robert Ouvrier-Bonnaz. Un portrait beaucoup plus récent. Photographie de Kristel Haentjens. Vers les années 1990, au travail au téléski de Charbonnières. Photographies de Jean-Claude Brun. C'était en 1978, Roland est le troisième à gauche, destination Paris, pour le salon de l'agriculture avec le Foyer Rural, emmené par Mireille Chareyron. Photographie de Edmond Burnet-Fauchez.
Hier, 25 août 2008, dans l'après-midi une crise cardiaque a emmené notre ami Roland. En ce moment, avec beaucoup d'autres, je pense tout particulièrement à sa mère, Irène. L'adieu à Roland se déroulera, vendredi 29, à 15 heures en l'église de St Nicolas. ( 26 aout) Quand les cloches accompagnent l'adieu à nos morts, Roland faisait volontiers partie de l'équipe de sonneurs. Hier après-midi, 29 août, c'est lui qu'elles entouraient de leur chant lancinant et douloureux. Roland avait 50 ans, la mort l'a pris en plein travail, aux champs, comme elle avait déjà, il y a 32 ans , emmené Marcel, son père dans les alpages de Zoron. Roland, discret et serviable était aimé de toute la communauté qui a entouré sa famille pour l'adieu en l'église St Nicolas avec les témoignages de ses amis, de ses collègues de travail de Marcinelle en Montagne et la présence des sapeurs-pompiers dont il avait été membre de longues années. ( 30 aout )
Roger Dumax-Baudron, surpris en plein travail dans les rues de Megève. Il ne reste que quelques jours pour visiter les expositions artistiques proposées à St Nicolas la Chapelle. Chantal Boulay, poteries, au restaurant*le St Nicolas; Jean-Luc Joseph, photographies, au restaurant* le St Nicolas et sous réserve, au bar associatif* de Chaucisse; Jean-Pierre Socquet, peintures, au café le Savoy*. * Pendant les heures d'ouverture de ces établissements. L'exposition dédiée à Denise Vassart-Dumax, rassemblant autour des œuvres de cette artiste récemment disparue, celles de Nathalie Langlais, Roger Dumax-Baudron et Jean-Pierre Socquet fermera le 31 août au soir. Elle est ouverte, préau de l'école de St Nicolas, les mardi, jeudi et dimanche, de 10 à 12 heures et de 17 à 19 heures. Derniers jours également pour les peintres de montagne chez nos voisins de Notre Dame de Bellecombe.
dimanche 24 août 2008
Peut-être avez vous participé à l'un des voyages organisés par le Foyer Rural en Bresse louhannaise et dont le point central était la Grange Rouge,à la Chapelle-Naude, centre culturel affilié à la Fédération Nationale des Foyers Ruraux. Je vous invite à visiter son site.
L' Âne en Palestine : Retrouvailles chaleureuses avec Paul Lepan, ami prêtre. Nous nous étions perdus de vue depuis plusieurs années. Joie d'échanger, de partager sur cette période. Bien sûr, entre autres, il est question d'ânes. Paul me parle d'un voyage en Palestine où l'âne tient une place importante dans la vie des gens … "Si tu m'écrivais quelques lignes pour notre bulletin "Hi-Han"… L' Âne dans la maison traditionnelle de Palestine au Temps de Jésus. P.S. C'était vers les années 1983… Je participais à une Session–Pèlerinage au pays de Jésus avec une trentaine de confrères. Ce fut, pour une grand part du temps, indépendamment des visites touristiques, l'occasion de contacts avec des personnes du lieu et de conférences données par des témoins de la réalité politique et religieuse du temps. Je me souviens, en particulier, d'être venu à Taibey, dans les parages de Jérusalem et d'avoir rencontré le Curé de la Paroisse catholique de rite oriental, implantée dans cette localité. Celui-ci nous fit, non seulement visiter l'église, mais un ensemble de bâtiments traditionnels qu'il avait acquis et dont l'existence apparaissait comme un défi au temps, tellement on s'y sentait reporté à des siècles en arrière. C'est là où il nous parla, entre autre, de l'animal familier de toute demeure d'Israël, au temps de Jésus. Le terrain, me semble-t-il, était d'une pente légère : deux bâtisses l'occupaient, l'une plus cossue, l'autre plus sommaire, étant séparées l'une de l'autre par une dizaine de mètres. La première s'adossait à un rocher affleurant le sol et lui servant de fondation, si bien que les murs semblaient s'incruster dans cette masse compacte. On pouvait évoquer tel passage de l'Évangile parlant d'une maison bâtie sur le roc… Aussitôt à droite de ce rocher, à quelques 3 mètres de distance, se trouvait la porte d'entrée de la demeure qui se présentait comme un cube de 7/7 environ, avec un toit de chaume au-dessus. Une fois passée la porte, nous fûmes surpris de constater, qu'à l'intérieur, la forme du rocher réapparaissait, mais complètement évidée, en une grotte constituant l'étable des moutons. En face de nous, s'avançait un couloir et à notre droite, une sorte de galerie qui épousait tout le mur : un personnage nous y attendait sous une très belle parure, bien qu'il se soit agi d'un leurre. Il figurait la jeune fille de la famille, toute prête pour son fiancé, le jour des noces. C'est de là qu'il viendrait la prendre pour former le cortège de la fête. Pour frère l'âne, un lieu stratégique Mais, revenons au couloir : à quelques mètres, un escalier de bois escaladait le rocher et accédait à l'étage supérieur où se trouvait, pour ainsi dire, l'appartement des habitants. Restait alors, entre l'escalier et le mur du fond, l'écurie de l'âne : il avait besoin d'un espace plus haut de plafond que la grotte du troupeau ; il était aussi en communication plus directe avec ses maîtres. Il se tenait là dans sa fonction de gardien de foyer : son système auditif particulièrement affiné lui permettait, en particulier pendant la nuit, de capter, de loin, le moindre bruit et d'avertir la maisonnée par le martèlement nerveux de ses petits sabots. Sortons maintenant de la cette maison principale, et approchons-nous de l'autre, à quelques pas. Elle est de dimensions plus modestes et ne comporte qu'une pièce où l'on pouvait dormir et manger. C'est ce qu'on appelait la Salle Commune. Elle était à l'usage de plusieurs familles formant clan, sur ce même espace. Chacune demeurait dans les environs, habitant une maison semblable à celle décrite plus haut. L'autre habitation était, par définition, à la disposition de tout le clan. Quand des cousins étaient de passage, pour quelques jours, on les logeait là et, à tour de rôle, chaque famille du clan leur apportait la nourriture d'un jour : c'était une forme de table d'hôtes où fonctionnait à plein la merveilleuse hospitalité des Pays d'Orient. L'âne de la crèche Vint le jour historique où Marie et Joseph arrivèrent à Bethléem, pour s'y faire recenser, eux qui, demeurant à Nazareth, étaient, cependant, de la Maison de David, en Judée. Ils avaient, c'est évident, une nombreuse parenté en ce lieu. Mais ils n'étaient pas les seuls car l'ordre de l'Empereur était incontestable. La jeune femme attendait l'Enfant et quand l'heure fut venue, "il n'y avait pas de place, pour eux, dans la Salle Commune". (Luc 11/7). Ou plutôt, il y en avait, mais pas pour accoucher dans les conditions d'intimité qui conviennent. Où allèrent-ils ? Tout simplement chez une famille du clan de leurs cousins. L'endroit le plus chaud était la grotte des moutons ; il y avait de la paille et même une crèche, ou mangeoire d'animaux. C'est là que Marie déposa le bébé, pendant que Joseph attacha l'âne à côté de celui du propriétaire, au fond du couloir. Y avait-il un bœuf ? En ce temps de "vache folle", mieux vaudrait ne pas en parler, n'est-ce pas ! C'est beaucoup plus tard, au 12ème siècle, que St François d'Assise, l'inventeur de la crèche liturgique, imagina d'adjoindre au premier témoin quadrupède de Noël, cet autre ruminant beaucoup moins authentique. L'animal ami de Jésus, c'est l'âne, évidemment ! N'est-ce pas à lui qu'on fera, plus tard, appel, quand il s'agira de le couvrir d'un manteau d'apparat, pour porter en un modeste triomphe le Roi d'humilité entrant dans sa Ville de Jérusalem. Il me revient en mémoire, au moment de clore cette évocation, le film intitulé "Au hasard, Balthazar !" C'était, là aussi, l'histoire d'un âne … Souvent incompris, au cours de sa longue existence, il finit par mourir, comme Jésus, mais c'était sur un fond lumineux de soleil couchant qui semblait annoncer une résurrection. Étonnamment, au cours de son jeune âge, des enfants avaient eu l'idée farfelue de baptiser cet âne. Après tout, pourquoi pas : n'avait-il pas une croix, finement tracée sur le dos ? Paul Lepan Prêtre Savoyard
Ce texte provient du site de BRAIRE, Bureau Régional de l'Ane, Information, Revalorisation, Entretien. Vous pouvez aussi taper: braire Paul Lepan dans votre recherche sur la toile.
samedi 23 août 2008
De face, de gauche à droite, Dosithé Ouvrier-Bonnaz, Ernest Bibollet, Robert Ouvrier-Bonnaz et Raymond Ouvrier-Buffet. De dos, Francis Pellissier et Paul Lepan. La marche de St Nicolas.*
Ce papier n'est pas très vieux, fin des années 1970. A cette époque on aimait se réunir en toute simplicité et amitié pour passer un bon moment. Aux veillées patois du Foyer Rural, autour du doyen, Ernest Bibollet, du maire, Raymond Ouvrier-Buffet et du curé, Paul Lepan, de nombreuses personnes, anciens et jeunes, se retrouvaient pour chanter, causer, écouter et partager. C'est dans cette ambiance que j'ai commis cette ritournelle, Paul Lepan l'avait accompagnée d'une musique, ce ne fût pas un tube, mais que de souvenirs en retrouvant ce papier un peu jauni! Une émotion peut-être partagées par d'autres personnes? *Pour les puristes, c'était avant la graphie de Conflans.
jeudi 21 août 2008
Saint Augustin, fête le 28, église de St Nicolas. Saint Augustin, église de Flumet.

En 430, St Augustin, évêque : converti à 33 ans grâce aux prières de sa mère Ste Monique, et baptisé par St Ambroise à Milan. Il défendit la Foi, menacée par l‘hérésie de Pélage, et l‘unité minée par le schisme de Donat. Il est, par sa "lettre 211"" (qui devint la Règle de nombreuses communautés), l‘un des fondateurs de la vie religieuse en Occident. Il est le Docteur de la charité : ""Aime, et fais ce que tu veux !"". Son œuvre écrite est telle que Possidius, son biographe, se demandait s‘il serait jamais possible de la lire toute entière ! On ne saurait contempler le mystère de la Ste Trinité, ou sa vie en nous par la grâce, méditer les écrits de St Jean ou s‘essayer à la philosophie de l‘Histoire, sans rencontrer St Augustin ! Explorateur de Dieu, il a creusé vers Lui les voies d‘approche pour nous, et nous a résumé en ces quelques mots tout notre destin : ""Tu nous as faits pour Toi, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu‘il ne repose en Toi !""."

Ce commentaire est emprunté au site des moines de Tamié.

samedi 16 août 2008
La 23 ème édition de cette manifestation se déroulera à Flumet, le dimanche 24 août prochain. Elle réunira des participants de tout le Val d'Arly, savoyard et haut-savoyard, attelages et groupes folkloriques ou musicaux, de 9 heures 30 à 19 heures 30. Dîner et bal prolongeront la fête jusqu'à 2 heures 30, ce sera lundi!
vendredi 15 août 2008
Jeudi soir, 14 août, les jeunes du Stage 10/15 de l'école du spectacle ont offert une remarquable représentation de Héros de papier, pièce travaillée du 3 au 12, lors de leur séjour aux Aubriettes. A tous les niveaux, écriture, interprétation, décors et costumes, la qualité était la règle. Sur le thème du héros de roman abandonné par un auteur raté, le spectateur a été invité à un voyage dans les livres, des Trois mousquetaires à Harry Potter et dans la vie actuelle et ses travers. Le public a longuement applaudit les 28 jeunes acteurs et l'équipe pédagogique très motivée qui les encadre pour cette belle illustration du livre et de la lecture.( 16 août 2008)
jeudi 14 août 2008
Ce matin, au Pont de Flon, un camion s'est retrouvé en situation très inconfortable, surtout pour son conducteur, légérement blessé. L'enquête de la gendarmerie établira les causes de ce retournement qui n'a pas perturbé la circulation, importante à cette époque de l'année sur la Rd 1212.
lundi 11 août 2008
Il y avait les sous-préfets aux champs, il y a aussi les peintres aux prés, tel Roger Dumax-Baudron, surpris ici en plein travail vers le Marteray. Cette nouvelle oeuvre va-t-elle rejoindre l'exposition* organisée par la municipalité au préau de l'école? Notre artiste y participe aux côtés de Denise Vassart-Dumax, Nathalie Langlais et Jean-Pierre Socquet. *Mardi, jeudi et dimanche, de 10 à 12 heures et de 17 à 19 heures.
dimanche 10 août 2008
Avant le retour à la maison . Photographie de ( X, pour l'instant. ) Paysages rencontrés et les randonneurs, photographies de Vincent Burnet-Fauchez.
Les randonneurs de l'aumônerie de la paroisse Sainte Anne d'Arly-Montjoie sont rentrés, partis le mercredi 30 juillet de Sallanches, ils se sont séparés ce dimanche 10 août après avoir participé à la messe dominicale à Megève. ( A suivre )

Mairie de Flumet.

Archives de Savoie.

Mairie de Saint Nicolas.

Conseil départemental

Conseil départemental
Savoie.

DIOC7SE D4aNNECY;

About Me