Vous trouverez ici quelques moments de la vie du village et de la vallée, quelques commentaires, quelques réactions, quelques témoignages du passé, réunis dans le désordre au fil d'une démarche bénévole, personnelle et quotidienne.
Pour aller aux sites proposés par la barre horizontale supérieure, deux clics sont nécessaires, un premier sur l'intitulé du site et un deuxième sur l'image fixe qui apparait, merci.
Pour me contacter: eburnetfauchez@gmail.com
Pour aller aux sites proposés par la barre horizontale supérieure, deux clics sont nécessaires, un premier sur l'intitulé du site et un deuxième sur l'image fixe qui apparait, merci.
Pour rechercher un ancien article de ce blog, allez au sommet à gauche.
Les commentaires anonymes ne sont plus publiés.
Et n'oubliez pas d'agrandir les images en cliquant dessus !
Pour me contacter: eburnetfauchez@gmail.com
Messages les plus consultés
-
Casimir Dumas-Baudron, des Pontets, mon oncle. Laurent Lombard, fils de Mathilde Burnet-Merlin, des Vorgers Eugène Métral-Charvet, Gène Ch...
-
https://www.cybermalveillance.gouv.fr/tous-nos-contenus/bonnes-pratiques/10-mesures-essentielles-assurer-securite-numerique https://www.comm...
-
https://www.letelepherique.org/le-catalogue-des-collections-ugine-n-est-pas-une-ville-comme-les-autres-527-757-0-1.html?ref=63e51cf3db5c230...
-
https://stnicolaslachapelle.blogspot.com/2024/11/reunion-des-communautes-du-val-darly.html Présentation de l'église à la messe de Pâques...
-
https://www.letelepherique.org/le-catalogue-des-collections-route-des-montagnes-la-527-758-0-1.html?ref=fef898c81ba8a165b0b7063684b9949b
-
Ce lundi 11 novembre, j'ai participé à trois cérémonies, à Saint-Nicolas-la-Chapelle à 9 h, à Notre-Dame-de-Bellecombe à 10 h et à Flume...
Archives du blog
-
▼
2012
(949)
-
▼
septembre
(56)
- Jourd'images.
- Un petit tour à la fête des montagnes à Ugine.
- Du côté de l'adret!
- Une grande fresque pour l'église d'Ugine.
- Henry Jacques Le Même à Ugine.
- Proverbe japonais.
- Au fil du temps, les Rafforts d'Héry.
- Les Français partagent avec enthousiasme leurs fil...
- Être écrivain à l’ère Internet | La-Croix.com
- Couleurs d'automne avec VVA.
- Jourd'images.
- Déjà Noël!
- Philippe Pozzo di Borgo, l’intouchable tombé du ci...
- « La parole de l’enfant ne peut pas être prise au ...
- Jourd'images.
- Ce matin, ouverture de la chasse.
- Le journal de Joseph-Marie Dumas-Baudron.1879-1895...
- Au fil du temps, les Rafforts d'Héry.
- De nombreux élus ont participé à Lyon à la cérémon...
- «Le français est illogique, subtil, paradoxal, c’e...
- Un brin d'humour offert par l'abbé Compazieu.****
- Pour éviter le malaise au travail, La Poste est in...
- Jourd'images.
- Jourd'images.
- Jourd'images.
- Cerf-volant, pour jouer avec le vent | La-Croix.com
- Jourd'images.
- Au fil du temps, les Rafforts d'Héry.
- « Le Bleuet », une librairie qui sème à tout vent ...
- Le PLU a plu à huit de nos conseillers.
- Le crime était son affaire.
- Jourd'images.
- Retournez-y-voir!
- Jourd'images.
- Le journal de Joseph-Marie Dumas-Baudron.
- La Pompadour a la patate | La-Croix.com
- Jourd'images.
- Le forum a-t-il bougé les gens?
- La cigogne noire, un indicateur de la santé des fo...
- Jourd'images.
- Au fil du temps, les Rafforts d'Héry.
- L'OHM en concours et en vallée d'Aoste.
- «Tous cobayes?», la nouvelle charge de Jean-Paul J...
- Le forum a-t-il bougé les gens?
- Jourd'images.
- Port Saint Nicolas la Chapelle.
- Jourd'images.
- Une artiste bien de chez nous.
- Les pompiers proposent des campagnes de prévention...
- Il est paru!
- Jeff Ascough, photographe.
- Jourd'images.
- A propos de l'humanité et accessoirement du trou d...
- La chronique de Jean-Michel di Falco.
- Le concours philharmonique international, Vallée d...
- Jourd'images
-
▼
septembre
(56)
Rechercher dans ce blog
dimanche 9 septembre 2012
" En 1879, le printemps fut très umide et froid, l'été fut froid et umide au mois de juillet la neige décendis sur les blés des hameaux la récolte fut très minime les abeilles ne firent leur necessaire just trois essaims touts trois le douze juillet. quant ils furent tous receuillit deux se rassembles d'eux même. ils purent presque se sufirent. mais celui qui resta seule ne pus se sufire. les souches furent à réunir un grand nombre ce qui fit que sur une vingtaine de ruches je ne pus n'en garder que treize la treizième devin orpholine pandans l'hivers ce qui fit que au printemps en 1880 je n'avais plus que douze ruches. a partir du 1 er novembre 1879 jusqu'au 14 décembre le froid fut très fort / du 14 déc jusqu'au 14 février 1880 le froid fut extrême en france les fleuves était touts gelé et les chemins de fer encombré par la neige ne pouvaint marché les parisiens manquaient d'alimans, mais sur tout de boit et de charbons ces deux derniér devin d'un grand pris. ici on ne soufris pas du froid seulement quelques arbres furent gelé. "
" en 1880 le froid fut très vif on observa jusqu'à 18 degrès centigrade de frois, et fort longtemps, la neige ne fut pas abondante le plus qu'il en eut fut 20 centimètres l'été fut très humide mais la récolte fut passable les abeilles firent encore bien l'essemage fut de 100 pour cent et dura du 3 juin au 28/ au premier octobre le poids moyen de toutes mes ruches ( j'en avais 24 ) fut seize kilos pesées avec leur plateau. "
" en 1881 le froid fut de 17 degré mais ne fut pas de longue duré, il y eut un mètre de neige les abeilles commencer à porter du polen le 26 février ( il y avait en moyenne trente centimètres de neige les abeilles furent bonne mais l'essemage fut presque nule ( 5 p% je fis dix esseims artificelles qui réussir très bien, qui firent tous leur vivre depuis la st jean le temps fut presque toujours beau/ le froid se fit centir tout le mois de mai. peut être que ce fut la cose que les abeilles n'essemer pas sur 23 ruches, jusq un esseim "
" en 1882 janvier et février furent très beau et pas froid le mois de mars fut beau jusqu'au vingt un le 15 il y avait 20 degrès de chaleur le blé était semé, les arbres commencèrent à fleurir du 18 au 20 avril par un temps froid il y eu deux a trois jours de méllée au commencement de mai alors tous les arbres étaient très fleuris, la semaine des trois st de glace c'était extraordinaire de voir comme les fleures des épicéas fumé quante le vent vené le soir les termomètres decendé a zéro, les abeilles ne profiter pas des fleurs, le temps était trop froid sepandant quelques une commencer à faire la barbe vert le 8, les bourdons firent leur aparition le 18 après quelques jours de froid qui avait retenu les abeilles au logis l'essemage commensa vert le 15 mai au rocha, il y eu encore apeprè 30 pour cent d'essims, mais il fesait très souvent mauvais temps mais je crois que ce qui leur nuissé de plus c'est que lair était toujours froid par consquant il n'avait pas de mielle j'eu le 1 er essaim le 29 mai un autre le 4 juin ce dernier je le fis mourir au mois d'aout, il n'avait pas seulment un demi kilo de mielle, au printemps javais 29 ruches d'abeilles et au mois de 7 bre 14 que j'avais toutes doublées pour quelles puissent passer l'hiver, une seule pesait 21 kilos au mois d'aout. je la lesse seule celle là. je vis déjà deux ruches au mois d'aout qui étaient morte de faim une chose qui fut un avertissement que je ne fis assé attention ce fut que les abeilles commencer a tuer les bourdons à la fin de mai. elles les tués pas tous, elles suspendé leur fureur pour quelques jours puis elles recommencé et ça dura tout le temps comme ça. en fin la campagne fut désastreuse, je n'avais jamais vu pareille calamité sur les abeilles et a partir du 15 aout le temps fut presque toujours mauvais on restait jusqu'a huit jours sans avoir un jour de soleil, de magnier que les abeilles restaient continuellement au logit l'automne fut si umide qu'on ne pus presque pas semer de froment, l'hiver arriva le 15 novembre, fort furieux dans le commencement, la pluie et la neige de tombés continuellement. dans le mois de décembre un " Crus " se rependit les usines furent presque toutes endomagé; les chemins furent tous éboulés il n'y avait point de communications libres- Ce ne fut que dans le mois de janvier 1883 que les chemins souvrir.
" 1883 fut très humide elle fut a quelleque choses prés comme sa devensier, aussi les abeilles essemer encore bien ( 60 p% mais niant pas pu faire des provisions sufisantes il fallé en faire mourir la moitié pour faire vivre l'autre moitié demanier que les ruches diminué toujours. vers la fin de novembre une aurore boréale vint paraître le matin et le soir pendans le temps de deux mois. le ciel était rouge rose, ou rouge couleur amarente rouge violet, ou rouge brun elle commencé au nord et décendé vers le midi, la moitié du / ciel était en poupré / dès fois c'esté jolie a voir elle commencé le ( le soir ) après le coucher du soleil et paressé encore une heure de nuit- " en 1884 le printemps fut très froid. Les abeilles ne purent guère profiter des fleures des arbres elles n'avencer peu jus qu'au 20 mai, à partir de cet époque le temps devin plus doux, la chaleur se manifesta de jour en jour, au commencement de juin les essaims arriver. onze ruches jusq onze essaims premier et trois seconders- Il ny eut que le dernier des primaire qui fut a réunir, le reste pu se sufire. mais je fut obligé d'en réunir deux qui étaient devenu orphelines. Je pus donc en garder 22-ruchées sur ce nombre il y avait huit essaims qui pesais bien 20 kilos ( poid brute ) en 7bre mais je n eux pas de capotes. L'été fut passablement beaux et l'automne très sec la neige arriva vers le vingt novembre la récolte fut bonne, il y eu passablement de fourage, de vint très bon en médiocre quantité-
" en 1885 l'hiver fut leger et le froid moderé le plus fort fut de 15 degrés, le mois de mars fut très beau, au commencement d'avril il survint un temps pluvieux et neigeux qui dura tout le mois, mai fut de même mais il y avait des jours qui n'était pas froid quoique pluvieux les arbres fleurir, et a la moindre éclecie les abeilles sortés, pour aller aux fleures des arbres, mais bien souvent un coup de vent froid survené, et leur empechè de rentrer, aussis on voyé des ruches de 1 er ordre passer au deuxième. vers le 20 mai il y avait souvent des jours ou les abeilles sortés par un moment de soleil etsésis par le froid ou par une ondée ne pouvé plus rentrer. Les ruches se depeuplés a vu d'oeuil au mois de juin quant il survint le beautemps les abeilles essaimer très peu. ( a peupre 6p% ) le mois de juin fut très avantageux pour elle, le miel fut abondant, mais au mois de juillet tout fut passé, quoique le sainfoin fusse bien en fleures, les abeilles n'augmenterent pas de poid. la récolte pour les mouches fut très médiocre sur seize essaims artificiels que j'avais je ne pus en garder que huit en les doublant. J'en eu trois qui purent se sufire, ( la moyenne de toutes mes ruches fut de 13 a 14 kilos brute ) je ne pus en garder que une trentaines. l'été fut très sec. la neige arriva le 28 7bre il en tomba plus de 20 centim les arbres qui étaient chargés soufrirent beaucoup, elle ne dura que quelques jours "
Pas de mention de 1886.
" 1887 fut médiocre "
" en 1888 le printemps fut très pluvieux au mois de mais les abeilles prire du poid les fleures des arbres furent très belles on observé jusqua 28 degrès de chaleur le 17 mais jeu un essaim les arbres étaient encore en fleures. a partir du mois de mais le temps fut très pluvieux et froid le reste de la séson. Ce qui fut la cose que l'année fut funeste pour les abeilles. il en mouru plus de 60 pour cent sur 18 essaims que jeu pas un put se sufire et le vin ne put arriver en maturité, les blés étaient de mauvaise qualité. il n'y eu que le sidre qui fut encore passable tent pour la qualité que pour la quantité"
" en mil huit cent quatrevingtneuf le printemps fut froid jus que ver le 15 amis de puis la le temps changea quant même il pleuvaut ce n'etait pas frois les abeilles firen encoure bien, les essaims fait avant le 20 juin furent bons "
" en 1890 le printemps fut passable les abeilles ramasser encore un peut au fleures des arbres ce qui fit qu'il essemer passablement ( 80 pour cent ) mais l'été fut très froid et umide ce qui fit que les abeilles ne furent pas bonnes jeu un essaim le 15 du mois de mais il fut bon jen n'eu un dixaine au mois de mais qui furent bons mai ceux qui se firent au mois de juin ne pure pas se sufirent, les ruches qui essemer de puis le 15 juin ce fut tout perdu. la mère et l'essaim. 4 essaim fait au mois de mai pesé encore 22 kilos au mois d'octobre- L''hiver ariva le 15 octobre par un froid de 4 ou 5 grès jus qu'au 20novembre de pui ce temps jus qu'au 20 janvier le froid fut extrèmement sans cecer un jour le 18 janvier j'ai observé 20 degrés de froid au pontet il y avait 20 centim de neige au chef lieu il y avait 28 degrès de froid- "
" en 1891 tout le printemps et l'été furent très froid la récolte n'avencé pas on croyé que la maturité n'ariveré pas aux ameaux. mais au mois de septembre Dieu nous envoya le beau temps et les blés murir dans tout les ameaux les abeilles essemer passablement à peupré 80 pour 100. et si le mois de juin et de juillet fussent chaus il y aurai eu du miel en abondance, et malgré que ce n'était pas chaus les abeilles furent bonnes la plus lourde de mes ruches pesé 36 kilos brute les essaims sze sufirent pres que tous beaucoup attinrent le poix de 22 a 25 kilos J'en fit mourir quelque ruche, qui étaient passablement grasses mais au lieux de les étouffer comme on fesait ensiennement je conserve toutes les mouches et je les passe a une ruche qui n'est pas bien forte de cette magnier je n'en fait plus mourir et j'y trouve mon avantage car elles sont plus fortes au printemps suivant "
" en 1892 le printemps fut passable les abeilles profiter de la fleure du serisier ce fut la cose quils essemer beaucoup aumoin 100 pour 100, jen vendis deux au printemps ( 20 f pièce ) lété fut beau et passablement chaus les essaims furent bons a la fin de la campagne javais 64 ruches d'abelles bonnes "
" en 1893 le printemps fut froid et sans pluie, la secheresse fut éxtremes au printemps je vendis 17 ruches d'abeilles ( a 17 et 18 f pieces ) les abelles ne profiter peu des fleures des arbres aussi il n'essemer peu 25 pour 100, mais je fit une12
douzaine d'essaims artificiel qui reussir trèss bien, et a la fin de
juillet javais encore 60 ruches dabeilles la pluie n'arriva que le mois
de juin la récolte fut passable et il yeu beaucoup de fruit et beaucoup
de vin "
" en 1894 le printemps fut beau au commencement les arbre était couver de fleures je vendis au printemps 15 ruches d'abeilles ( 3 à 17 et 12 à 18 F- et javais fait plus de 60 kilos de miéll qui ne se vendé peu l'hiver fut rude il y avait au mois de février deux metres de neige et jus qu'à 23 degrès de foid, mais comme jaité dessandu a paris je ne vis pas plus de 3 a 4 centimètres de neige, mais il fesais bien froid la seine fut prise pendant six semaines,il y avait jusq a 23 et meme 25 degrés de frois "
" en 1895 le printemps fut passable les arbres fleurir bien, mais le mois de mai fut très froid et mauvais ce qui fit quil nu presque pas de fruit. au printemps j'avais 35 ruches d'abeilles ce qui avais disparu pendans mon abessance il firent passablement bien jeus 20 essaims qui furent presque touts bons, enfin je pus en garder 50 ruches pour passer l'hivers. le meilleur des essaims pesé 30 kilos une grande ruche de la contenance, de 45 litres ". ( je passe l'hivers à Paris ). Fin.
" en 1880 le froid fut très vif on observa jusqu'à 18 degrès centigrade de frois, et fort longtemps, la neige ne fut pas abondante le plus qu'il en eut fut 20 centimètres l'été fut très humide mais la récolte fut passable les abeilles firent encore bien l'essemage fut de 100 pour cent et dura du 3 juin au 28/ au premier octobre le poids moyen de toutes mes ruches ( j'en avais 24 ) fut seize kilos pesées avec leur plateau. "
" en 1881 le froid fut de 17 degré mais ne fut pas de longue duré, il y eut un mètre de neige les abeilles commencer à porter du polen le 26 février ( il y avait en moyenne trente centimètres de neige les abeilles furent bonne mais l'essemage fut presque nule ( 5 p% je fis dix esseims artificelles qui réussir très bien, qui firent tous leur vivre depuis la st jean le temps fut presque toujours beau/ le froid se fit centir tout le mois de mai. peut être que ce fut la cose que les abeilles n'essemer pas sur 23 ruches, jusq un esseim "
" en 1882 janvier et février furent très beau et pas froid le mois de mars fut beau jusqu'au vingt un le 15 il y avait 20 degrès de chaleur le blé était semé, les arbres commencèrent à fleurir du 18 au 20 avril par un temps froid il y eu deux a trois jours de méllée au commencement de mai alors tous les arbres étaient très fleuris, la semaine des trois st de glace c'était extraordinaire de voir comme les fleures des épicéas fumé quante le vent vené le soir les termomètres decendé a zéro, les abeilles ne profiter pas des fleurs, le temps était trop froid sepandant quelques une commencer à faire la barbe vert le 8, les bourdons firent leur aparition le 18 après quelques jours de froid qui avait retenu les abeilles au logis l'essemage commensa vert le 15 mai au rocha, il y eu encore apeprè 30 pour cent d'essims, mais il fesait très souvent mauvais temps mais je crois que ce qui leur nuissé de plus c'est que lair était toujours froid par consquant il n'avait pas de mielle j'eu le 1 er essaim le 29 mai un autre le 4 juin ce dernier je le fis mourir au mois d'aout, il n'avait pas seulment un demi kilo de mielle, au printemps javais 29 ruches d'abeilles et au mois de 7 bre 14 que j'avais toutes doublées pour quelles puissent passer l'hiver, une seule pesait 21 kilos au mois d'aout. je la lesse seule celle là. je vis déjà deux ruches au mois d'aout qui étaient morte de faim une chose qui fut un avertissement que je ne fis assé attention ce fut que les abeilles commencer a tuer les bourdons à la fin de mai. elles les tués pas tous, elles suspendé leur fureur pour quelques jours puis elles recommencé et ça dura tout le temps comme ça. en fin la campagne fut désastreuse, je n'avais jamais vu pareille calamité sur les abeilles et a partir du 15 aout le temps fut presque toujours mauvais on restait jusqu'a huit jours sans avoir un jour de soleil, de magnier que les abeilles restaient continuellement au logit l'automne fut si umide qu'on ne pus presque pas semer de froment, l'hiver arriva le 15 novembre, fort furieux dans le commencement, la pluie et la neige de tombés continuellement. dans le mois de décembre un " Crus " se rependit les usines furent presque toutes endomagé; les chemins furent tous éboulés il n'y avait point de communications libres- Ce ne fut que dans le mois de janvier 1883 que les chemins souvrir.
" 1883 fut très humide elle fut a quelleque choses prés comme sa devensier, aussi les abeilles essemer encore bien ( 60 p% mais niant pas pu faire des provisions sufisantes il fallé en faire mourir la moitié pour faire vivre l'autre moitié demanier que les ruches diminué toujours. vers la fin de novembre une aurore boréale vint paraître le matin et le soir pendans le temps de deux mois. le ciel était rouge rose, ou rouge couleur amarente rouge violet, ou rouge brun elle commencé au nord et décendé vers le midi, la moitié du / ciel était en poupré / dès fois c'esté jolie a voir elle commencé le ( le soir ) après le coucher du soleil et paressé encore une heure de nuit- " en 1884 le printemps fut très froid. Les abeilles ne purent guère profiter des fleures des arbres elles n'avencer peu jus qu'au 20 mai, à partir de cet époque le temps devin plus doux, la chaleur se manifesta de jour en jour, au commencement de juin les essaims arriver. onze ruches jusq onze essaims premier et trois seconders- Il ny eut que le dernier des primaire qui fut a réunir, le reste pu se sufire. mais je fut obligé d'en réunir deux qui étaient devenu orphelines. Je pus donc en garder 22-ruchées sur ce nombre il y avait huit essaims qui pesais bien 20 kilos ( poid brute ) en 7bre mais je n eux pas de capotes. L'été fut passablement beaux et l'automne très sec la neige arriva vers le vingt novembre la récolte fut bonne, il y eu passablement de fourage, de vint très bon en médiocre quantité-
" en 1885 l'hiver fut leger et le froid moderé le plus fort fut de 15 degrés, le mois de mars fut très beau, au commencement d'avril il survint un temps pluvieux et neigeux qui dura tout le mois, mai fut de même mais il y avait des jours qui n'était pas froid quoique pluvieux les arbres fleurir, et a la moindre éclecie les abeilles sortés, pour aller aux fleures des arbres, mais bien souvent un coup de vent froid survené, et leur empechè de rentrer, aussis on voyé des ruches de 1 er ordre passer au deuxième. vers le 20 mai il y avait souvent des jours ou les abeilles sortés par un moment de soleil etsésis par le froid ou par une ondée ne pouvé plus rentrer. Les ruches se depeuplés a vu d'oeuil au mois de juin quant il survint le beautemps les abeilles essaimer très peu. ( a peupre 6p% ) le mois de juin fut très avantageux pour elle, le miel fut abondant, mais au mois de juillet tout fut passé, quoique le sainfoin fusse bien en fleures, les abeilles n'augmenterent pas de poid. la récolte pour les mouches fut très médiocre sur seize essaims artificiels que j'avais je ne pus en garder que huit en les doublant. J'en eu trois qui purent se sufire, ( la moyenne de toutes mes ruches fut de 13 a 14 kilos brute ) je ne pus en garder que une trentaines. l'été fut très sec. la neige arriva le 28 7bre il en tomba plus de 20 centim les arbres qui étaient chargés soufrirent beaucoup, elle ne dura que quelques jours "
Pas de mention de 1886.
" 1887 fut médiocre "
" en 1888 le printemps fut très pluvieux au mois de mais les abeilles prire du poid les fleures des arbres furent très belles on observé jusqua 28 degrès de chaleur le 17 mais jeu un essaim les arbres étaient encore en fleures. a partir du mois de mais le temps fut très pluvieux et froid le reste de la séson. Ce qui fut la cose que l'année fut funeste pour les abeilles. il en mouru plus de 60 pour cent sur 18 essaims que jeu pas un put se sufire et le vin ne put arriver en maturité, les blés étaient de mauvaise qualité. il n'y eu que le sidre qui fut encore passable tent pour la qualité que pour la quantité"
" en mil huit cent quatrevingtneuf le printemps fut froid jus que ver le 15 amis de puis la le temps changea quant même il pleuvaut ce n'etait pas frois les abeilles firen encoure bien, les essaims fait avant le 20 juin furent bons "
" en 1890 le printemps fut passable les abeilles ramasser encore un peut au fleures des arbres ce qui fit qu'il essemer passablement ( 80 pour cent ) mais l'été fut très froid et umide ce qui fit que les abeilles ne furent pas bonnes jeu un essaim le 15 du mois de mais il fut bon jen n'eu un dixaine au mois de mais qui furent bons mai ceux qui se firent au mois de juin ne pure pas se sufirent, les ruches qui essemer de puis le 15 juin ce fut tout perdu. la mère et l'essaim. 4 essaim fait au mois de mai pesé encore 22 kilos au mois d'octobre- L''hiver ariva le 15 octobre par un froid de 4 ou 5 grès jus qu'au 20novembre de pui ce temps jus qu'au 20 janvier le froid fut extrème
" en 1891 tout le printemps et l'été furent très froid la récolte n'avencé pas on croyé que la maturité n'ariveré pas aux ameaux. mais au mois de septembre Dieu nous envoya le beau temps et les blés murir dans tout les ameaux les abeilles essemer passablement à peupré 80 pour 100. et si le mois de juin et de juillet fussent chaus il y aurai eu du miel en abondance, et malgré que ce n'était pas chaus les abeilles furent bonnes la plus lourde de mes ruches pesé 36 kilos brute les essaims sze sufirent pres que tous beaucoup attinrent le poix de 22 a 25 kilos J'en fit mourir quelque ruche, qui étaient passablement grasses mais au lieux de les étouffer comme on fesait ensiennement je conserve toutes les mouches et je les passe a une ruche qui n'est pas bien forte de cette magnier je n'en fait plus mourir et j'y trouve mon avantage car elles sont plus fortes au printemps suivant "
" en 1892 le printemps fut passable les abeilles profiter de la fleure du serisier ce fut la cose quils essemer beaucoup aumoin 100 pour 100, jen vendis deux au printemps ( 20 f pièce ) lété fut beau et passablement chaus les essaims furent bons a la fin de la campagne javais 64 ruches d'abelles bonnes "
" en 1893 le printemps fut froid et sans pluie, la secheresse fut éxtremes au printemps je vendis 17 ruches d'abeilles ( a 17 et 18 f pieces ) les abelles ne profiter peu des fleures des arbres aussi il n'essemer peu 25 pour 100, mais je fit une
" en 1894 le printemps fut beau au commencement les arbre était couver de fleures je vendis au printemps 15 ruches d'abeilles ( 3 à 17 et 12 à 18 F- et javais fait plus de 60 kilos de miéll qui ne se vendé peu l'hiver fut rude il y avait au mois de février deux metres de neige et jus qu'à 23 degrès de foid, mais comme jaité dessandu a paris je ne vis pas plus de 3 a 4 centimètres de neige, mais il fesais bien froid la seine fut prise pendant six semaines,il y avait jusq a 23 et meme 25 degrés de frois "
" en 1895 le printemps fut passable les arbres fleurir bien, mais le mois de mai fut très froid et mauvais ce qui fit quil nu presque pas de fruit. au printemps j'avais 35 ruches d'abeilles ce qui avais disparu pendans mon abessance il firent passablement bien jeus 20 essaims qui furent presque touts bons, enfin je pus en garder 50 ruches pour passer l'hivers. le meilleur des essaims pesé 30 kilos une grande ruche de la contenance, de 45 litres ". ( je passe l'hivers à Paris ). Fin.
Ces lignes sont extraites du journal, dont j'ai gardé la ponctuation et l'orthographe, tenu par mon arrière-grand-père maternel, Joseph-Marie Dumas-Baudron, des Pontets. Joseph-Marie Dumas-Baudron est décédé, en son domicile, sis au chef-lieu de Saint Nicolas la Chapelle, le 30 avril 1897. Son journal est rédigé sur un cahier inclus dans l'ouvrage, Le Conservateur, ou la culture perfectionnée des abeilles d'après les méthodes les plus récentes et avec application de celle de NUTT, édité à Mulhouse en 1843 chez J-P Risler, éditeur et libraire.
Inscription à :
Publier les commentaires
(Atom)
Art et Culture en Arly. ACA.
Libellés
Chaucisse
(742)
Vivre en Val d'Arly
(298)
Haut Val d'Arly. Val d'Arly
(258)
Ephéméride 2010
(224)
activités et animations
(223)
concert
(175)
Crest-Voland
(143)
musique
(137)
Notre Dame de Bellecombe
(76)
gorges de l'Arly
(74)
exposition de peinture
(52)
Combloux
(38)
Cohennoz
(35)
ADMR
(34)
exposition
(34)
Vincent malandrin
(32)
Avenir de Chaucisse
(24)
la Voix de nos Clochers
(22)
école de musique de Megève
(20)
150 ème anniversaire
(18)
élections
(11)
L'écho du Val d'Arly
(8)
feu de la St Jean
(8)
église
(8)
élections municipales
(4)
écologie
(2)
village
(1)
à raquettes
(1)
écoles de musique
(1)
énergies renouvelables
(1)
1 commentaires:
merci pour cette belle description de la vie de Joseph Dumas-Baudron et à travers lui de ce que fut la vie des générations précédentes ; j'ai mieux saisi ce qui avec quels fils se tissait leur quotidien;J'ai du coup commandé pour l'offrir ces livres sur les abeilles.
Merci également pour vos magnifiques photos de la nature au fil ds saisons et de vos reportages;un vrai régal
Bénédicte Bruggeman